vendredi 18 juin 2010

Andalousie - Contexte, premières impressions (et Archives du Vagabond)

Comme premier véritable billet sur l'Andalousie et Séville, je proposerai quelques photos accompagnées de mes premières impressions. Je devrais dire secondes impressions, en fait, puisque ceux qui me suivent depuis longtemps savent que c'est mon second passage dans la capitale andalouse. Pour ceux qui me suivent depuis moins longtemps sur ce blogue, et qui ne savent peut-être pas que ce ne sera pas mon premier séjour en Andalousie... je fais donc référence à mes archives, ce qui permet aussi de mettre en contexte les présents commentaires sur Séville. J'y étais passé - trop rapidement - lors de mon exploration de l'Espagne et du Portugual en 2006.
Avant de lire mes impressions nouvelles de l'Andalousie, je vous invite donc à consulter cette page personnelle présentant quelques extraits de ce blogue et quelques photos de mon passage à Sevilla, Cordoba et Granada il y a quatre ans.
Les prochaines semaines me permettront de voir si l'ambiance et le contexte ont bien changés depuis... ainsi que découvrir divers endroits de cette célèbre région du monde. Pour débuter, allons-y donc avec mes secondes impressions :-)
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D'abord, je dois dire que ce qui précède (2006) et ce qui suit prouve bien que tout est relatif, même la beauté et le charme d'une ville. Pourquoi? Parce que Sevilla n'avait pas été parmi mes villes préférées de l'Espagne lors de mon passage en 2006. J'avais adoré Barcelona, Segovia, Avila, Salamanca et Granada. La mosquée-cathédrale de Cordoba avait aussi été un souvenir remarquable, mais côté ville dans son ensemble, mes autres coups de coeurs de ce voyage étaient allés à d'autres villes, comme Porto, Rennes ou Albi, par exemple.
Ceci ne signifie aucunement que je n'avais pas trouvé que Sevilla était une belle ville, mais simplement que ce que j'avais vu pendant ce voyage était incroyablement beau...
Lors de mon arrivée il y a quelques jours, ma réaction a été de trouver que Sevilla était une bien plus belle ville que dans mon souvenir. Contexte oblige: j'arrive directement du Québec, avec derrière moi quelques villes de l'Est des États-Unis et le Guatemala auparavant. Les références immédiates n'étant pas les mêmes, Sevilla fait une toute autre impression.


Hôtel Alfonso XIII (construit en 1920, et reconnu aujourd'hui comme un des meilleurs hôtels du monde), avec palmiers en avant-plan.


Cathédrale (campanile) à contre-jour.


Ceux qui ont lu les archives pré-citées reconnaîtront la "rue du chat de Mathieu"!


Calle Anchoras, Où je demeure à Sevilla. Ce n'est pas une rue très large... je reviendrai sur ce concept dans un billet subséquent.


Une marche au hasard dans les rues du centro historico vous amène à découvrir et traverser des rues très étroites. Un simple regard vers le ciel donne une autre perspective à votre promenade.


Il y a beaucoup de calèches au centre-ville. Elles sont reluisantes et les chevaux ont l'air rigolo. Celui-ci s'amusait à se frotter le nez sur les touristes qui devaient passer tout près, en sortant de la cathédrale, quand la voie plus large était fermée (pour la promo du film de Tom Cruise). Les observateurs remarqueront également l'architecture intéressante des fenêtres du campanile de la cathédrale. J'y reviendrai également (c'est l'avantage de ne pas être pressé).


Ma chambre est située sur le toit de la pension où j'habite. J'ai accès à une terrasse, avec vue sur l'étroite rue Anchoras. Notez que la proximité des édifices d'en face rend parfaitement crédible les scènes de film où le héros saute d'un toit à l'autre; je pourrais même le faire ici sans risque!
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