Ça faisait un bon moment que je voulais prendre le temps d'explorer le jardin de sculptures aménagé sur l'Avenue du Musée de Montréal, cette voie urbaine qui part du pavillon Desmarais du Musée des Beaux Arts pour passer entre les pavillon Hornstein et Bourgie.
La fin des travaux d'aménagement du nouveau pavillon m'a donc fournit le prétexte idéal pour cette exploration.
Sur l'Avenue, une oeuvre de cartons de couleur, qui rappellent certains drapeaux nationaux, mais sans dessins particulièrement facile à identifier, offre un effet intéressant, mais dont je n'a pas saisi la signification lors de ma visite. Des lectures subséquentes l'ont identifié comme une sorte de champ de fleur (inspiré des Coquelicots de Monet).
Certaines oeuvres sont absolument spectaculaires, comme cet Oeil, de David Altmejd, qui trône littéralement devant l'ancienne église Erskine qui est maintenant intégrée au Musée.
À l'autre bout du jardin, on retrouve cette très amusante autruche en patins à roulettes...
Les coeurs géants (qui sont de Jim Dine, je crois, je n'ai pris que quelques notes) sont au nombre de trois quand ils sont verts et du côté nord de la rue Sherbrooke...
Mais ne sont que deux quand ils sont rouges et du côté sud.
Deux jolies pièces représentant des éléphants surmontés par un lièvre dansant; une thématique plutôt ludique.
Le Québec est très bien représenté par le Hibou-pelle de Riopelle, dont on reconnaît la parenté avec La Joute, du même artiste, installée à la place qui porte son nom en face du Palais des congrès.
J'aime bien celle-ci, qui n'a pas de titre, pour la sobriété et la subtilité. Un homme debout à côté d'un monolithe, mais ce dernier est parsemé de petits oiseaux. Il s'agit d'une oeuvre de Mimmo Paladino.
In memoriam I et II, d'après les infos du musée. C'est signé Élisabeth Frink.
J'étais à la fois agréablement surpris de constater que Montréal avait un Henry Moore (célèbre sculpteur de Leeds, dans le Yorkshire), et un peu déçu de voir que l'oeuvre en question (Grande tête totémique), bien que d'inspiration précolombienne, ne soit pas ma tasse de thé. On ne peut pas tout avoir.
Celle-ci, qui a presque une allure précolombienne également - mais du nord - s'intitule pourtant Grand tournesol... comme quoi, l'art peut parfois évoquer des choses différentes dépendant de l'oeil qui regarde l'oeuvre.
Ce bas relief ne fait pas à proprement parler du jardin des sculptures, mais la thématique de mythologie grecque jumelée au style Beaux Arts du bâtiment (le pavillon Hornstein du musée) m'a rappelé quelques édifices de Leeds, et combien j'ai aimé en photographier les détails.
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La fin des travaux d'aménagement du nouveau pavillon m'a donc fournit le prétexte idéal pour cette exploration.
Sur l'Avenue, une oeuvre de cartons de couleur, qui rappellent certains drapeaux nationaux, mais sans dessins particulièrement facile à identifier, offre un effet intéressant, mais dont je n'a pas saisi la signification lors de ma visite. Des lectures subséquentes l'ont identifié comme une sorte de champ de fleur (inspiré des Coquelicots de Monet).
Certaines oeuvres sont absolument spectaculaires, comme cet Oeil, de David Altmejd, qui trône littéralement devant l'ancienne église Erskine qui est maintenant intégrée au Musée.
À l'autre bout du jardin, on retrouve cette très amusante autruche en patins à roulettes...
Les coeurs géants (qui sont de Jim Dine, je crois, je n'ai pris que quelques notes) sont au nombre de trois quand ils sont verts et du côté nord de la rue Sherbrooke...
Mais ne sont que deux quand ils sont rouges et du côté sud.
Deux jolies pièces représentant des éléphants surmontés par un lièvre dansant; une thématique plutôt ludique.
Le Québec est très bien représenté par le Hibou-pelle de Riopelle, dont on reconnaît la parenté avec La Joute, du même artiste, installée à la place qui porte son nom en face du Palais des congrès.
J'aime bien celle-ci, qui n'a pas de titre, pour la sobriété et la subtilité. Un homme debout à côté d'un monolithe, mais ce dernier est parsemé de petits oiseaux. Il s'agit d'une oeuvre de Mimmo Paladino.
In memoriam I et II, d'après les infos du musée. C'est signé Élisabeth Frink.
J'étais à la fois agréablement surpris de constater que Montréal avait un Henry Moore (célèbre sculpteur de Leeds, dans le Yorkshire), et un peu déçu de voir que l'oeuvre en question (Grande tête totémique), bien que d'inspiration précolombienne, ne soit pas ma tasse de thé. On ne peut pas tout avoir.
Celle-ci, qui a presque une allure précolombienne également - mais du nord - s'intitule pourtant Grand tournesol... comme quoi, l'art peut parfois évoquer des choses différentes dépendant de l'oeil qui regarde l'oeuvre.
Ce bas relief ne fait pas à proprement parler du jardin des sculptures, mais la thématique de mythologie grecque jumelée au style Beaux Arts du bâtiment (le pavillon Hornstein du musée) m'a rappelé quelques édifices de Leeds, et combien j'ai aimé en photographier les détails.
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