Europe 2003: Paris

Note: Ce billet s'inscrit dans une série «Spécial 10e anniversaire de vagabondages»
--
Note (2012): Considérant tout le temps que j'ai passé à Paris en fin de périple, je n'ai que très peu écris dans mon journal de voyage. C'était la seconde fois que je mettais les pieds dans la ville lumière, la fatigue accumulée du voyage, la fin qui approchait et les longues journées à explorer la ville sont tous des facteurs ayant contribué au peu de notes de voyages écrites. Par contre, ces mêmes facteurs m'ont encouragé à y prendre beaucoup plus de photos qu'ailleurs.
--
Journal de voyage, 1 juin 2003
Paris

L’arrivée à Paris s’est déroulée sans anicroche. Nous avons remarqué être devenu des voyageurs sans réservation depuis Athènes, un peu plus expérimentés.
Paris, c’est probablement la ville au rythme de vie le plus accéléré depuis Londres et peut-être encore plus. Touristiquement moins achalandée que le centre-ville de Prague, il semble pour le moment que les parisiens soient encore supérieurs en nombre!
Ah, les Champs Élysées, la Tour Eiffel et les Champs de Mars, le musée du Louvre, autant de sites déjà visités en trois jours, et à trois reprises en ce qui concerne les Champs Élysées, où nous retournerons certainement.
Je suis content de voir que même si Paris a certainement changé en cinq ans, j’aime encore beaucoup m’y retrouver et m’y promener. Le fait de devoir y rester 16 jours (nos billets de trains étant maintenant expirés) permet d’entreprendre les visites avec calme, de se promener au hasard et de re-visiter certains sites.
Il est heureux que se soit par une ville si riche en beautés que le trois mois de notre exploration de l’Europe s’achève.
--

Journal de voyage, 5 juin 2003
Après la visite au Louvre, au Père Lachaise, au Moulin Rouge et une balade dans St-Michel, une balade dans Montmartre, une dans St-Denis et au Jardins du Luxembourg, on peut dire que notre visite de paris est sous le signe de la relaxation, un rythme que nous avons adopté dès notre arrivée à Nice. La France, peut-être, appelle plus ce genre de tourisme?
On peut constater que la longueur du séjour et sa flexibilité, le temps disponible jumelé à l’absence de logistique future et à l’absence de déplacement aux trois jours sont des facteurs qui rendent le séjour à Paris totalement différent de toutes les autres villes que nous avons visitées. Paris sera donc encore plus unique comme souvenir.
--

Journal de voyage, 6-14 juin 2003
Nous aurons visité les axes historiques de Paris, du Louvre aux tuileries, aux Champs Élysées, leur avenue, Neuilly-sur-Seine, l’Arc de triomphe (plusieurs visites dont la dernière, en haut, mémorable), l’avenue Charles de Gaule et l’Arche et le quartier de la Défense. L’autre axe n’a pas souffert non plus, puisqu’une marche similaire nous a mené du Pont de l’Alma aux Invalides et leur esplanade, puis à l’École militaire et aux Champs de Mars, où nous avons dégusté chips, vin et mousseux au pied de la Tour Effeil. Nous avons grimpés jusqu’au deuxième étage à pied, 334 marches pour monter au premier, puis 344 entre le premier et le deuxième, le tout dans la structure d’acier à l’air libre, entre onze heure et minuit!
--
Le retour à la butte Montmartre près de notre hôtel a valu le coup d’œil – pas tant par la vue qu’il offre de Paris comme pour la quartier des artistes et l’ambiance de village qui se dégage de la place du Tertre.
--

Je n'ai rien dans mes notes concernant
cette photo, mais si je me souviens bien,
c'est dans Montmartre, et Toulouse-Lautrec
a habité dans cet immeuble.

Une des célèbres vues du balcon de Notre-Dame.

Le pouce du quartier de la Défense.

Dans le coin des Halles.

Suze dans le parc de la Comtesse de Ségur.

Près de St-Eustache.

--