Hey sweet,
Thank you lots for your beautiful words on the xmas card you sent me. I assure you I appreciate every word of it. Never doubt that you're too a wonderful friend to me, my love, and I also look forward to spend more time with you in this new year.
I don't know when that will be, but there isn't a doubt in my mind that we'll be together soon enough.
In the meanwhile, keep going, dear, enjoy life like no one, and never forget that I love you and always will.
Hugo.
xxx
mardi 27 décembre 2005
dimanche 25 décembre 2005
L'esprit de Noël...
Une bouteille de Bordeaux Baron de Montesquieu: 25$
Un message texte de Evelyn, de Quito sur mon cellulaire le 24 décembre: Priceless
Entendre la voix de Tamy au téléphone de L.A. le 24 décembre: Priceless
Une carte folle et touchante reçue de Claire, de BC, avant Noël: Priceless
Un message texte de Evelyn, de Quito sur mon cellulaire le 24 décembre: Priceless
Entendre la voix de Tamy au téléphone de L.A. le 24 décembre: Priceless
Une carte folle et touchante reçue de Claire, de BC, avant Noël: Priceless
vendredi 23 décembre 2005
Joyeuses Fêtes...
Chers amis,
Un court billet pour vous souhaiter de joyeuses fêtes... faites de la raquette en forêt, buvez de l'alcool avec vos parents et amis, donnez des cadeaux, allez à la messe, permettez-vous des excès alimentaires, chantez en public, prenez des marches main dans la main, et bien d'autres plaisir encore, mais attention quand même, ne faites pas tout ça en même temps, ok?
On se reparle en 2006...
mardi 20 décembre 2005
Cute Cat!
Yeah, I know, I shouldn't put that kinda stuff here, there's already a lots of useless stuff on the net... But well, today, I just couldn't resist...
From the zillions of pics found on the net, I thought that this one was really cute.
I love animals, I love cats, I love big cats... so here it is.
Enjoy!
L'esprit vagabond sur glace :)
Comme tout petit québécois qui se respecte, l'hiver venu, je patine.
La réalité, par contre, est un peu plus complexe que ça. En fait, étant tout jeune, je n'aimais pas ça, patiner sur glace, alors je n'ai pas appris, et l'horreur, c'était les journées de patins organisées par l'école, au primaire, où je me retrouvais à l'arena et seul de mon niveau à ne pas savoir patiner (et ne pas réellement vouloir savoir non plus). Puis vint le collège, où j'ai eu à disputer 5 matches de Hockey, en équipement à part de ça. Très amusant, en fait. je me souviens d'avoir joué défenseur (à défendre quoi?) et de m'être fait contourner avec une rapidité étonnante par mon ami de collège Bernard Goulet, frère de Michel, qui jouait avec les Nordiques de Québec. Yé.
Le temps passe et un jour, me retrouvant devant quelques km à pieds à chaque matin pour me rendre au bureau (j'habitait alors St-Hyacinthe), je me procurre des rollerblade pour accomplir la distance. Et j'adore le rollerblade.
Puis vint un moment où je vais patiner sur glace pour le plaisir, juste pour voir, après tant d'années... et découvre que c'est pareil comme le rollerblade et que désormais, je sais patiner! Wow.
Depuis, de temps à autre (mais principalement l'hiver, héhéhéhé), je patine sur glace par plaisir, par une belle journée douce... et c'est donc ce qui m'a amené à prendre la photo ci-haut, à la patinoire Bonsecours du vieux-port de Montréal, dimanche dernier. J'y ai passé une heure trente à tourner en rond, prendre l'air, faire travailler quelques muscles des cuisses qui visiblement, eux, avaient oubliés qu'ils existaient, et ma foi, c'était fort agréable.
C'est surprenant qu'en "ville" comme à Montréal, on puisse patiner un peu partout... Le parc Lafontaine, le 1000 de la Gauchetière, le Vieux-Port, et maintenant, le lac des Castors dans le parc du Mont-Royal. Je vous parlerai de cette dernière d'ici quelques semaines quand j'y serai allé.
lundi 19 décembre 2005
Les meilleurs films de 2005 !
Eh oui, avec décembre qui se termine bientôt, voici le retour de mon Top 10 annuel de cinéma. Voici donc mes dix films préférés de 2005, avec une ou deux notes les concernant.
Rappelons qu'il s'agit de mes dix préférés, pas nécessairement les 10 meilleurs films de l'histoire, mais pour moi, au moment où je les ai vus, et dans les circonstances, et blablabla, vous avez compris le concept, j'en suis certain... :)
Notons que l'année n'est pas terminée, et que je n'ai pas tout vu cette année, malheureusement, quoique depuis quelques années, je vois un peu moins de films poches que par le passé, héhéhé... (quelques navets ne m'ont pas échapés, par contre, la Neuvaine, Fantastic 4 et Sahara parmi eux)...
Allons-y sans tarder avec les meilleurs, donc.
10. Corpse Bride, de Tim Burton.
Une animation en stop-motion dont une bonne partie se passe sous terre, dans un monde de mort, mais avec des chansons et une bonhommie contagieuse, un scénario amusant et plein de bonnes trouvailles... et la morte la plus cute de l'histoire du cinéma!
9. The Interpreter, de Sydney Pollack.
J'ai un faible pour les films de Pollack, un faible pour Sean Penn et un faible pour Nicole Kidman. J'étais donc fait pour ce film. Mais plus encore, c'est l'intelligence du scénario, l'intelligence de la réalisation (les autos n'explosent pas au moindre contact), la qualité de l'interprétation (même si Kidman et Penn en font parfois trop, c'est encore mieux que d'autres bozos qui ne savent pas jouer, non?) et la finesse du suspense (la séquence de l'autobus est une petite merveille de suspense intelligemment construit). Un suspense qui prend son temps, j'aime bien.
8. El Viento, de Eduardo Mignogna
Petit film argentin qui n'a l'air de rien au départ, avec sa mise en scène effacée et ses personnages si ordinaires. Mais au fil du film, se déroule une intrigue plus complexe, et plus intense, et plus dure. Le tout filmé en Amérique du Sud et en espagnol (ce qui ma gagne déjà un vote de sympathie pour le voyage que le film nous fait faire), avec des acteurs convaincants et des sentiments justes. Une découverte.
7. Revenge of the Sith (Star Wars Episode III), de George Lucas.
Malgré ses défauts, pour des raisons bien personnelles et les circonstances de son visionnement (avec deux amis avec lesquels j'avais impatiemment attendus la sortie de Return of the Jedi en 1983), cet univers m'a toujours rejoint et heureusement, Lucas a su mieux livrer la marchandise que dans les deux épisodes précédents. Et puis en terme de divertissement et de pirouettes techniques, il n'y a pas grand chose de mieux, point.
6. A love song for Bobby Long, de Shainee Gabel.
Je sais, officiellement, ce film est sorti en 2004. Who cares, si les deux seules copies de cette année-là jouaient à NY et L.A.? Pour moi, sa disponibilité canadienne de 2005 en fait un film de 2005. Na. Et un bon, lent mais solide drame, avec l'excellent Travolta et l'excellente et si jolie Scarlett Johansson. Sa présence suffit à me faire apprécier un film, mais ne le classe pas nécessairement au top 10 (voir The Island, superbement gâché par son scénario et son réalisateur, mais c'est uen autre histoire). Love song est un film d'un genre qu'on ne voit presque plus de nos jours.
5. C.R.A.Z.Y. de Jean-Marc Vallée.
Le meilleur film québécois de 2005, sans conteste (je n'ai pas tout vu, mais je doute que Aurore ne m'ait procurré autant de plaisir comme cinéphile). Tout est réussi dans ce film juste et touchant, fascinant et drôle, et qui fait regretter que son réalisateur se soit fait si rare au fil des ans.
4. Sin City, de Robert Rodriguez.
Un pur plaisir de cinéphile, une réelle adaptation BD sur un écran de cinéma qui donne l'impression de véritablement voir une BD, avec un scénario tordu qui puise dans le style de Tarantino de Pulp Fiction, donc beaucoup d'éléments pour me plaire dans ce projet. Le produit fini est visuellement splendide et certaines lignes de dialogues sont fabuleusesment savoureuses. Cerise sur le sundae, j'ai un faible pour les histoires multiples dont les personnages se croisent, par hasard...
3. Les Poupées Russes, de Cédric Klapisch.
Wow. Une suite à l'excellent L'Auberge Espagnole. Yé. Wow, une très bonne suite en plus. Wow, une suite meilleure que le premier film? Je pense bien que oui. Plus mature, et dont le scénario amusant et touchant aussi, ne se force pas à suivre tous les personnages de l'original, mais bien ceux qui ont quelque chose à nous raconter. Plusieurs personnages encore jeunes et dont les destins s'entrecroisent, par hasard... :)
2. Harry Potter and The Goblet of Fire, de Mike Newell.
Sans conteste le film de pur divertissement le plus réussi de l'année. Mieux encore, il devient le 4e film d'une série qui s'est améliorée avec son 3e et 4e volet, une rareté dans l'histoire du cinéma. Visuellement, c'est superbe, et quelle bon moment de cinéma que de découvrir enfin Voldemort! Mes attentes de lecteurs et de cinéphile ayant adoré le 3e film étaient élevées, et j'ai adoré du début à la fin, il aurait pu être facilement classé premier dans cette liste, mais bon, un peu de retenu, nous ne sommes plus des enfants, voyons :)
1. Crash, de Paul Haggis.
Un autre film qui techniquement, est sorti en 2004, très limité alors et disponible ici qu'en 2005, donc, blabla... Quel bon film! L'idée de raconter ces journées dans la vie de gens ordinaires dont le destin se croise (par hasard? héhé) avait tout pour me plaire, bien sûr, mais il y a bien plus. L'intelligence du scénario et la justesse des dialogues, l'humour qui est partout malgré une dose de drame incroyable, mais surtout, deux éléments marquants pour moi; premièrement; défendre l'idée que nos gestes mêmes les plus petits ont une influences sur les gens qui nous côtoient. Ensuite, une finale qui malgré tout le drame, est une des belles finales relativement sereine et optimiste des films de 2005. Sans tomber dans le happy end idiot, c'est de plus en plus rare.
Voìlà!
Évidemment, quelques autres titres se sont rudement disputés pour une place dans cette liste... alors question de ne pas les laisser totalement dans l'oubli, sans commentaire, en voici deux qui ont passé le plus près de figurer sur ma liste top 10 de 2005...
L'audition, de Luc Picard
Batman Begins, de Christopher Nolan
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mardi 13 décembre 2005
Modifications mineures...
Vous excuserez l'imbroglio qui apparâit parfois dans la colonne de droite, je fais quelques tests et modifications mineures - et comme nous parlons d'informatique, les choses ne sont pas aussi smooth qu'elle le devraient, bien sûr :)
Je vais tenter de régler le tout le plus rapidement possible.
Je vais tenter de régler le tout le plus rapidement possible.
Tout le monde en parle
J'ai écouté avec beaucoup de plaisir la dernière diffusion de 2005 de l'émission produite et animée par Guy A. Lepage, Tout le monde en parle.
Vous savez certainement tous de quelel émission il s'agit, même si vous ne lui portez pas d'intérêt, puisque comme le titre le dit, tout le monde en parle...
Et c'est ça qui m'étonne le plus souvent.
À chaque semaine - ou presque - l'animateur débute en mentionnant les réactions reçues après l'émission précédente, et réagit à ces réactions.
C'est incroyable le nombre de gens qui prennent le temps de réagir, par courriel ou autrement, à divers propos tenus pendant cette émission.
Que plusieurs sursautent lors des propos tenus par un psy amateurs de télé-spectacle, c'est fort normal, mais vous connaissez le type en question, alors êtes vous tellement surpris que vous devrez vous plaindre?
Idem pour les gens qui disent que tel ou tel segment n'aurait pas dû être présenté. Comme celui de cette chanteuse accusée de vol à l'étalage venue donner son point de vue - parfois confus. ?
De toute manière, j'étais un peu un fan de l'émission de Ardisson (en France) lorsque je pouvais capter TV5 quelque part, alors de voir le concept adapté ici au Québec, c'est un grand plaisir: je dois avouer que je sui un fan de ce type de concept; le show de chaise pendant lequel tout le monde peut intervenir et où - spécifions - on n'invite pas des monsieur-tout-le-monde qui ne veut que faire de la télé(réalité). La différence est importante, les show du genre Springer me donne des boutons, je n'arrive même pas à comprendre qu'uen seule personne sur terre puisse trouver cela intéressant.
Mais revenons à Guy A et son émission.
L'ancien de RBO est le gars parfait pour ce genre de concept. Intelligent, vif d'esprit, engagé, baveux, je l'aime beaucoup comme animateur de Tout le monde en parle.
Comme dans tout talk show, l'intérêt repose souvent sur la brochette d'invité. Lorsue vous avez un humoriste qui a de la répartie, ou un intervenant vif d'esprit, ou un invité très engagé (Le passage de Dan Bigras, par exemple, ou celui de Léo-Paul Lauzon), la discussion est généralement intéressante.
Et en ce sens, l'émission de dimanche dernier était exemplaire. L'habituel mélange drôle et sérieux, très bien dosé, pas de réelle engueulade (le passage de Raël ou du doc chose, bof, j'aime mieux quand c'est divertissant même si c'est sur des sujets sérieux: le passage de victimes d'actes criminels, de travailleurs de rue, de volontaire humanitaires, etc, sont plus intéressants que machin-chose qui dit des débilité, non? Même si on parlera plus le lendemain de machin-chose-le-débile).
Marc Labrèche qui est touchant et drôle et la belle Stéphanie qui est venu parler un peu de chanson et carrière, mais surtout de randonnée en montagne (j'ai beaucoup accroché sur ces passages, évidemment: note, le Kilimanjaro qu'elle a vaincu est à trois mètres près un sommet de même altitude que le Cotopaxi dont j'ai souvent parlé ici). Lauzon - le mouton noir de l'ordre de comptable dont j'ai un jour fait partie... René-Richard Cyr qui a fini par parler lui aussi des difficulté pour les jeunes homosexuels - l'homosexualité est un sujet qui est revenu souvent cette saison, autant de manière sérieuse que de manière humoristique - et en ce qui me concerne, on ne parlera jamais assez des difficultés pour les jeunes homosexuels tant qu'elles existeront... - difficile de croire parfois que nous sommes pratiquement en 2006 tellement certaines personnes fonctionnent encore avec les barrières des années 40... Mais justement, des discussion amicales et des blagues et de l'information utile, par des émissions comme celle de Guy A., ça ne peut que faire évoluer les mentalités dans la bonne direction.
Bref, une émission très bien remplie, intéressante et divertissante à la fois.
La chose n'est pas aussi courante que ça, non?
La plus vielle personne sur terre est...
La plus vieille personne sur terre est... équatorienne!
Ben oui, tu parles d'une coïncidence (ou bien non?).
Maria Esther Capovilla, originaire de Guayaquil, la plus grande ville de l'Équateur, a 116 ans et ce fait documenté en ferait la plus vieille personne sur terre...
Passé l'étonnement de voir que la doyenne du monde vient d'un pays que j'aime beaucoup, faudrait-il s'étonner qu'elle vienne d'un pays du tiers-monde? Sérieusement, à quoi servent nos «plus meilleurs» systèmes de santé au monde si les doyens ne sont pas fichus d'en avoir profité et de prouver que notre vie dans les pays industrialisés est plus profitable sur le long terme?
Maria écoute la télé et ne se sert pas encore d'une canne pour prendre ses marches...
Et puis boredl, à quoi servent nos diètes sans cholestérol, sans gras trans, sans carb, sans caféine, sans sucre, hein?
Non mais...
Maria a mangé de la cuisine équatotienne toute sa vie - et croyez moi je sais de quoi je parle ici - elle n'a donc pas du tout eu accès à ce que les habitants des pays industrialisés appellent une diète équilibrée et saine.
Mais, mais, attention, Maria précise qu'elle ne boit pas d'alcool.
Dans sa jeunesse, au début du siècle dernier, la coutume locale voulait que pour montrer son appréciation de l'offre, une jeune fille devait seulement effleurer le bord de son verre, sans boire une goutte...
...
Et puis on a beau avoir 116 ans, rien n'est parfait. Si le monde n'avait pas changé depuis la jeunesse de Maria, une équatorienne d'aujourd'hui ne pourrait toujours pas démontrer son intérêt envers un homme avant que celui-ci se soit clairement compromis envers elle.
Et je dois vous avouer... ça serait bien dommage ;-) Héhéhéhéhé...
Ben oui, tu parles d'une coïncidence (ou bien non?).
Maria Esther Capovilla, originaire de Guayaquil, la plus grande ville de l'Équateur, a 116 ans et ce fait documenté en ferait la plus vieille personne sur terre...
Passé l'étonnement de voir que la doyenne du monde vient d'un pays que j'aime beaucoup, faudrait-il s'étonner qu'elle vienne d'un pays du tiers-monde? Sérieusement, à quoi servent nos «plus meilleurs» systèmes de santé au monde si les doyens ne sont pas fichus d'en avoir profité et de prouver que notre vie dans les pays industrialisés est plus profitable sur le long terme?
Maria écoute la télé et ne se sert pas encore d'une canne pour prendre ses marches...
Et puis boredl, à quoi servent nos diètes sans cholestérol, sans gras trans, sans carb, sans caféine, sans sucre, hein?
Non mais...
Maria a mangé de la cuisine équatotienne toute sa vie - et croyez moi je sais de quoi je parle ici - elle n'a donc pas du tout eu accès à ce que les habitants des pays industrialisés appellent une diète équilibrée et saine.
Mais, mais, attention, Maria précise qu'elle ne boit pas d'alcool.
Dans sa jeunesse, au début du siècle dernier, la coutume locale voulait que pour montrer son appréciation de l'offre, une jeune fille devait seulement effleurer le bord de son verre, sans boire une goutte...
...
Et puis on a beau avoir 116 ans, rien n'est parfait. Si le monde n'avait pas changé depuis la jeunesse de Maria, une équatorienne d'aujourd'hui ne pourrait toujours pas démontrer son intérêt envers un homme avant que celui-ci se soit clairement compromis envers elle.
Et je dois vous avouer... ça serait bien dommage ;-) Héhéhéhéhé...
mercredi 7 décembre 2005
Cadillac-McDonald's: Une anecdote historique
Vous connaissez les voitures Cadillac? Bien sûr que oui. Voitures de luxe, construites à Détroit, qui fut un jour la capitale de la construction automobile... Mais saviez-vous que la ville de détroit a été fondée par Antoine de Lamothe Cadillac et que c'est en son honneur que cette voiture de luxe a été nommée ainsi?
A-ha!
Mieux encore, saviez-vous que le Cadillac en question était né à Montréal?
ben oui. En 1650-quelque-chose (paresse ici... je suis probablement à deux ou trois clics de souris de la date en question par google... juste un instant... voilà:) 1658. Sans en avoir la certitude, je soupçonne que c'est en l'honneur de ce même Cadillac, qui aurait aussi contribué à la colonisation de la Louisianne, que la rue et la station du métro du même nom ont été nommée à Montréal. La chose ferait du sens, non?
Quand mon oncle Robert de St-Prime arrivait chez nous avec sa nouvelle Cadillac, jamais je ne me serais douté qu'elle était baptisée en l'honneur du fondateur de détroit né à Montréal. En parlant de mon oncle Robert et ses Cadillac, je serais curieux de lui demande rcombien il en a eu au juste. dans ma mémoire d'enfant, il en a eu beaucoup, mais en adulte réfléchi, je me dis qu'il ne changeait certainement pas de Cadillac tous les ans, tout de même...
Mais revenons à Antoine de Lamothe Cadillac...
La maison où il est né, à Montréal, se situe au coin de Notre-Dame et St-Laurent, aujourd'hui dans le quartier historique du Vieux Montréal.
Et... (roulement de tambour)... aujourd'hui, cette maison abrite... un restaurant McDonald's!
L'anecdote pourrait bien s'arrêter ici... (en fait, elle le fait, mais je me sens incapable de ne pas en rajouter) ... si ce n'était que ce McDonald's est célèbre en Amérique... Rien de moins... puisqu'il a été le premier restaurant de la célèbre chaîne de fast-food américaine à ouvrir ses portes sans les arches typiques qui trônent habituellement devant tout McDonald's qui se respecte!
Notons en terminant qu'il n'a pas été le dernier dans ce cas, le McDonald's de Antigua, au Guatemala, a été intégré à un édifice de l'époque coloniale, et donc, est dépourvu d'arches également.
Voilà. C'était l'Esprit Vagabond éducatif :)
A-ha!
Mieux encore, saviez-vous que le Cadillac en question était né à Montréal?
ben oui. En 1650-quelque-chose (paresse ici... je suis probablement à deux ou trois clics de souris de la date en question par google... juste un instant... voilà:) 1658. Sans en avoir la certitude, je soupçonne que c'est en l'honneur de ce même Cadillac, qui aurait aussi contribué à la colonisation de la Louisianne, que la rue et la station du métro du même nom ont été nommée à Montréal. La chose ferait du sens, non?
Quand mon oncle Robert de St-Prime arrivait chez nous avec sa nouvelle Cadillac, jamais je ne me serais douté qu'elle était baptisée en l'honneur du fondateur de détroit né à Montréal. En parlant de mon oncle Robert et ses Cadillac, je serais curieux de lui demande rcombien il en a eu au juste. dans ma mémoire d'enfant, il en a eu beaucoup, mais en adulte réfléchi, je me dis qu'il ne changeait certainement pas de Cadillac tous les ans, tout de même...
Mais revenons à Antoine de Lamothe Cadillac...
La maison où il est né, à Montréal, se situe au coin de Notre-Dame et St-Laurent, aujourd'hui dans le quartier historique du Vieux Montréal.
Et... (roulement de tambour)... aujourd'hui, cette maison abrite... un restaurant McDonald's!
L'anecdote pourrait bien s'arrêter ici... (en fait, elle le fait, mais je me sens incapable de ne pas en rajouter) ... si ce n'était que ce McDonald's est célèbre en Amérique... Rien de moins... puisqu'il a été le premier restaurant de la célèbre chaîne de fast-food américaine à ouvrir ses portes sans les arches typiques qui trônent habituellement devant tout McDonald's qui se respecte!
Notons en terminant qu'il n'a pas été le dernier dans ce cas, le McDonald's de Antigua, au Guatemala, a été intégré à un édifice de l'époque coloniale, et donc, est dépourvu d'arches également.
Voilà. C'était l'Esprit Vagabond éducatif :)
mardi 6 décembre 2005
Calendrier biblique nouveau genre :)
Avez-vous entendu parlé de cette église d'Allemagne qui a décidé de faire un calendrier 2006 illustrant 12 scènes isues de la bible?
Rien de bien excitant, me direz-vous, sauf que dans ce cas précis, les douze scènes ont été sélectionneés pour leur caractère érotique. Oui oui!
L'image que vous voyez ici, et qui est celle de la couverture, représente Ève offrant la pomme :)... Il y a aussi Dalilah coupant les cheveux de Samson...
L'objectif? Sensibiliser les jeunes à la Bible... hehehe... Moi, je trouve toute l'affaire bien rigolotte... Le pasteur de l'église de Nuremberg, qui vend le calendrier, trouve le projet enthousiasmant.
Bien des frileux ont protesté, crié au scandale, se demandant comment ces gens pouvaient se prétendre brebis du Seigneur... Avouez que ça fait rire.
Notez, on ne parle pas de pornographie, ici... et en fait, ne trouvez-vous pas que ça fait du sens de voir Ève... en costume d'Ève, justement :))
Je me demande si les réactions seraient les mêmes si un petit groupe décidaient de représenter graphiquement douze scènes violentes de la Bible, tiens...
Bon, c'était l'anecdote amusante du jour.
lundi 5 décembre 2005
L'esprit Vagabond chante Noël!
Hehehe...
En ce début du mois de décembre, mois qui verra comme à chaque année la sortie d'une panoplie incroyable d'albums de Noël, et aussi le retour à la radio et dans nos divers lecteurs CD, MP3, LP (?) de musique traditionnelle... un mot sur les chansons de Noël.
Je ne répèterai pas ce que j'avais dit l'an dernier sur le lien entre ces chansons et notre enfance - ceci expliquant notre attachement relatif à certaines de ces chansons.
Je ferai toutefois un Top 5 de mes chansons de Noël favorites, et avant d'en dresser la liste, je me rends compte que j'aime ces chansons pour des raisons bien différentes de Noël lui-même... En fait, n'étant pas croyant moi-même et appréciant la période de Noël pour une toute autre raison que la religion à laquelle elle se rattache, je semble cohérent dans mes choix de chansons dont l'intérêt à mes yeux est à peine relié à l'aspect religieux.
Allons-y donc:
1. Happy Christmas (War is over), de John Lennon.
Je ne prétends pas ici être original, mais pour moi, c'est un incontournable, c'est LA chanson de Noël, surtout que justement, elle transcende totalement l'aspect religueux pour un aspect humaniste qui m'inspire beaucoup. On soupire à l'idée que si simplement dix pourcent des gens qui adorent cette chanson en adoptait les idées, le monde serait déjà plus pacifique...
2. Gabriel's Message, de Sting.
Une chanson traditionnelle qui relate le message à Marie de l'ange Gabriel. La version enregistrée par Sting demeure une des plus belles interprétation du genre à mes yeux (et mes oreilles). C'est poétique, lyrique (en vieil anglais), vous fermez les yeux en l,écoutant et vous êtes dans un autre univers, emporté par la musique. Un must.
3. Hallelujah, de Leonard Cohen, chanté par Rufus Wainwright.
Bon, ce n'est pas exactement une chanson de Noël, mais on semble l'entendre plus à cette période de l'année. La version chantée par Rufus Wainwright est une interprétation très touchante de ce texte, la meilleure de mon point de vue. C'est une chanson dérangeante, subtile et qui joue avec la notion de Dieu sans être religieuse. Cette version a été entendue par hasard à Lloa (directement sortie du premier film Shrek), et alors, le temps a semblé s'arrêter et le monde a semblé faire du sens pour quelques minutes.
4. Ave Maria, de Gounod, chanté par Aaron Neville.
Encore une chanson qui n'est pas typiquement de Noël mais que j'associe à cetet période quand même. J'ai un faible pour cet Ave Maria, même si je ne suis pas religieux. Les arrangements de Gounod évoquent aussi une tristesse infinie qui se marie plutôt bien avec la nostalgie qu'apporte souvent le temps de Noël.
Une nouvelle version enregistrée sur un album classique du guitariste Dominic Miller est aussi très belle. La voix (de Sting) y est beaucoup plus douce, et il y a donc un peu moins de tristesse dans cette version que j'aime bien aussi.
5. All I want for Christmas is you, chantée par Mariah Carey.
D'abord, n'ayons pas peur de nos goûts, j'ai toujours aimé cette chanson en général, même si le texte est moins profond que celui de mes autres choix. Le fait qu'elle soit aussi importante dans le film (pas de Noël, mais qui possède l'esprit de Noël), Love Actually, a donné un petit plus à mon appréciation de la chose. Enfin, j'ai choisi la version de Mariah Carey car la chanteuse américain a la voix parfaite pour cette chanson et sa version est inspirée. Enfin, comme mon souhait de Noël le plus cher serait de regrouper tous mes amis autour de moi l'espace d'un instant, dans un sens large, cette chanson est pour moi.
Voilà, c'était ma chronique chansons de Noël.
Vous, quelles sont les vôtres?
En ce début du mois de décembre, mois qui verra comme à chaque année la sortie d'une panoplie incroyable d'albums de Noël, et aussi le retour à la radio et dans nos divers lecteurs CD, MP3, LP (?) de musique traditionnelle... un mot sur les chansons de Noël.
Je ne répèterai pas ce que j'avais dit l'an dernier sur le lien entre ces chansons et notre enfance - ceci expliquant notre attachement relatif à certaines de ces chansons.
Je ferai toutefois un Top 5 de mes chansons de Noël favorites, et avant d'en dresser la liste, je me rends compte que j'aime ces chansons pour des raisons bien différentes de Noël lui-même... En fait, n'étant pas croyant moi-même et appréciant la période de Noël pour une toute autre raison que la religion à laquelle elle se rattache, je semble cohérent dans mes choix de chansons dont l'intérêt à mes yeux est à peine relié à l'aspect religieux.
Allons-y donc:
1. Happy Christmas (War is over), de John Lennon.
Je ne prétends pas ici être original, mais pour moi, c'est un incontournable, c'est LA chanson de Noël, surtout que justement, elle transcende totalement l'aspect religueux pour un aspect humaniste qui m'inspire beaucoup. On soupire à l'idée que si simplement dix pourcent des gens qui adorent cette chanson en adoptait les idées, le monde serait déjà plus pacifique...
2. Gabriel's Message, de Sting.
Une chanson traditionnelle qui relate le message à Marie de l'ange Gabriel. La version enregistrée par Sting demeure une des plus belles interprétation du genre à mes yeux (et mes oreilles). C'est poétique, lyrique (en vieil anglais), vous fermez les yeux en l,écoutant et vous êtes dans un autre univers, emporté par la musique. Un must.
3. Hallelujah, de Leonard Cohen, chanté par Rufus Wainwright.
Bon, ce n'est pas exactement une chanson de Noël, mais on semble l'entendre plus à cette période de l'année. La version chantée par Rufus Wainwright est une interprétation très touchante de ce texte, la meilleure de mon point de vue. C'est une chanson dérangeante, subtile et qui joue avec la notion de Dieu sans être religieuse. Cette version a été entendue par hasard à Lloa (directement sortie du premier film Shrek), et alors, le temps a semblé s'arrêter et le monde a semblé faire du sens pour quelques minutes.
4. Ave Maria, de Gounod, chanté par Aaron Neville.
Encore une chanson qui n'est pas typiquement de Noël mais que j'associe à cetet période quand même. J'ai un faible pour cet Ave Maria, même si je ne suis pas religieux. Les arrangements de Gounod évoquent aussi une tristesse infinie qui se marie plutôt bien avec la nostalgie qu'apporte souvent le temps de Noël.
Une nouvelle version enregistrée sur un album classique du guitariste Dominic Miller est aussi très belle. La voix (de Sting) y est beaucoup plus douce, et il y a donc un peu moins de tristesse dans cette version que j'aime bien aussi.
5. All I want for Christmas is you, chantée par Mariah Carey.
D'abord, n'ayons pas peur de nos goûts, j'ai toujours aimé cette chanson en général, même si le texte est moins profond que celui de mes autres choix. Le fait qu'elle soit aussi importante dans le film (pas de Noël, mais qui possède l'esprit de Noël), Love Actually, a donné un petit plus à mon appréciation de la chose. Enfin, j'ai choisi la version de Mariah Carey car la chanteuse américain a la voix parfaite pour cette chanson et sa version est inspirée. Enfin, comme mon souhait de Noël le plus cher serait de regrouper tous mes amis autour de moi l'espace d'un instant, dans un sens large, cette chanson est pour moi.
Voilà, c'était ma chronique chansons de Noël.
Vous, quelles sont les vôtres?
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