Alors que je m'envole vers Quito, capitale de l'Équateur, où je séjournerai pendant les prochaines semaines, voici un aperçu du projet qui me ramène, pour une 5e fois, dans ce petit pays des Andes.
--
L'Équateur - et les environs immédiats de Quito - a été le théâtre de mon premier projet de coopération internationale, que j'ai effectué au printemps 2004. L'année 2014 marque donc le dixième anniversaire de ce projet et représente donc une belle occasion de retourner sur place pour faire un état des lieux sur ce projet.
Ainsi, je me propose de retourner à l'école où j'enseignais l'anglais de base aux enfants du rang San Luis de Lloa et où j'avais contribué à fournir du matériel (scolaire, sportif et autres) lors de mon séjour en 2004 et de mon retour sur place en 2005.
--
L'Équateur est le premier pays en développement où j'ai mis les pieds, et le premier pays latino-américain que j'ai visité. Il conserve donc une place particulière dans ma vie et je n'ai jamais cessé d'en suivre la progression depuis mon tout premier séjour à Quito. Après près de huit ans de gouvernement socialiste sous la présidence de Rafael Correa, un retour en Équateur me permettra d'observer plus directement l'effet des politiques et dossiers que je suis à distance. Mon éveil socio-politique opéré grâce à mes voyages en Amérique latine ne s'est fait qu'après mon premier séjour en Équateur et il est donc important à mes yeux de retourner avec le bagage socio-politique accumulé depuis quelques années pour voir l'Équateur sous un angle différent.
--
Les enfants qui ont façonné mon séjour à Quito et Lloa, de même que les amis que je m'y suis fait et avec qui j'ai pu garder contact, font partie intégrante de mon expérience de l'Amérique latine, et comme ça fait sept ans que je n'ai pas mis les pieds en Amérique du Sud, ils me manquent et je profite de l'occasion pour aller leur rendre visite. Il faut ajouter à ce sentiment l'absence de contact avec les enfants du village (absence d'internet ou d'adresse précises), et le fait qu'en 2014, je les verrai pour la première fois dans leur vie de jeunes adultes. Il me tarde de savoir et de voir ce qu'ils sont devenus et comment va la vie pour ces amis qui vivent dans un autre univers par rapport au nôtre mais dont la présence a profondément modifié ma vie à moi en 2004.
--
Enfin, de manière plus générale, ce projet s'inscrit dans mes réflexions sur la coopération, les projets individuels, les voyages indépendants et en ce sens, il n'est pas impossible qu'il soit accompagné d'un projet de sensibilisation à mon retour, projet auquel je vous inviterai certainement mais dont les détails demeurent à établir pour le moment.
--
L'Équateur - et les environs immédiats de Quito - a été le théâtre de mon premier projet de coopération internationale, que j'ai effectué au printemps 2004. L'année 2014 marque donc le dixième anniversaire de ce projet et représente donc une belle occasion de retourner sur place pour faire un état des lieux sur ce projet.
Ainsi, je me propose de retourner à l'école où j'enseignais l'anglais de base aux enfants du rang San Luis de Lloa et où j'avais contribué à fournir du matériel (scolaire, sportif et autres) lors de mon séjour en 2004 et de mon retour sur place en 2005.
--
L'Équateur est le premier pays en développement où j'ai mis les pieds, et le premier pays latino-américain que j'ai visité. Il conserve donc une place particulière dans ma vie et je n'ai jamais cessé d'en suivre la progression depuis mon tout premier séjour à Quito. Après près de huit ans de gouvernement socialiste sous la présidence de Rafael Correa, un retour en Équateur me permettra d'observer plus directement l'effet des politiques et dossiers que je suis à distance. Mon éveil socio-politique opéré grâce à mes voyages en Amérique latine ne s'est fait qu'après mon premier séjour en Équateur et il est donc important à mes yeux de retourner avec le bagage socio-politique accumulé depuis quelques années pour voir l'Équateur sous un angle différent.
--
Les enfants qui ont façonné mon séjour à Quito et Lloa, de même que les amis que je m'y suis fait et avec qui j'ai pu garder contact, font partie intégrante de mon expérience de l'Amérique latine, et comme ça fait sept ans que je n'ai pas mis les pieds en Amérique du Sud, ils me manquent et je profite de l'occasion pour aller leur rendre visite. Il faut ajouter à ce sentiment l'absence de contact avec les enfants du village (absence d'internet ou d'adresse précises), et le fait qu'en 2014, je les verrai pour la première fois dans leur vie de jeunes adultes. Il me tarde de savoir et de voir ce qu'ils sont devenus et comment va la vie pour ces amis qui vivent dans un autre univers par rapport au nôtre mais dont la présence a profondément modifié ma vie à moi en 2004.
--
Enfin, de manière plus générale, ce projet s'inscrit dans mes réflexions sur la coopération, les projets individuels, les voyages indépendants et en ce sens, il n'est pas impossible qu'il soit accompagné d'un projet de sensibilisation à mon retour, projet auquel je vous inviterai certainement mais dont les détails demeurent à établir pour le moment.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
L'Esprit Vagabond vous remercie de vous identifier (ou signer votre commentaire). Assumez vos opinions!
L'Esprit Vagabond est un blogue privé et ne publie pas de commentaires anonymes.