Il y a tant de choses à voir, à visiter, à découvrir, à Londres, qu'en quelques visites à peine pendant mon séjour, je n'ai évidemment pas pu tout voir ce qu'offre cette ville dynamique, et ce, même si j'y avais passé quelques semaines déjà, par le passé.
Évidemment, avec tout ce qu'elle offre, il est également impensable que je puisse faire la relation de toutes mes visites sur ce blogue. Je vais donc, avant de conclure mes reportages-photos du Royaume-Uni, publier quelques billets sur les attractions et quartiers de Londres que j'ai visité lors de mes deux dernières visites de la capitale avant mon retour au pays, puisque j'ai déjà couvert l'essentiel de mes découvertes de mes premières visites.
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Le secteur appelé Seven Dials se trouve juste au nord de Covent Garden, non loin, donc du quartier des théâtres et d'un important secteur commercial. Il tient son nom d'une place centrale sise à un carrefour où se rejoignent pas moins de sept rues. Le quartier avait été ainsi conçu pour maximiser les loyers potentiels (on louait alors au pied linéaire en façade, le quartier adoptait des rues en triangles pour maximiser les longueur de façade).
L'endroit est marqué par une colonne monumentale (sundial pillar), et quelques motifs dans le pavé de la place - ainsi qu'un cadran solaire à l'aide duquel on peut déterminer l'heure, si j'ai bien compris, mais pas par une nuit sans lune...
Chacune des rues est occupée par divers commerces locaux. Ce qui fait l'intérêt de Seven Dials, c'est l'assemblage hétéroclite de boutiques indépendantes. Ne cherchez pas de bannières populaires ici, mais vous trouverez des commerces aussi divers qu'originaux. Ceci ferait la joie du concepteur d'origine du quartier en 1690 - Thomas Neale - puisqu'il voulait que l'endroit devienne un lieu synonyme de qualité, d'originalité et de mode, bref, un coin en vue.
Malheureusement pour Neale, l'affaire n'a pas fonctionné immédiatement et le quartier est devenu un taudis. Ça aura pris un développement renouvelé à la fin des années 1890 et l'installation d'artistes, pour remettre Seven Dials sur la carte de la respectabilité. Aujourd'hui, la brasserie "The Two Brewers" m'a interpellé pour diverses raisons (dont une référence à Montréal).
Après une découverte nocturne du quartier, j'y suis repassé de jour, où j'ai pu explorer quelques éléments architecturaux et de décor, qui y sont fort colorés, comme ici, à Neale's Yard, une des quelques cours intérieures qui se trouvent entre les rues en rayon.
Autres édifices de Neale's Yard.
Parmi les rues les plus connue, on retrouve sur Monmouth Street, une plaque informant le passant que c'est là qu'était situé la compagnie de Brian Epstein, le gérant des Beatles.
Originalité et couleur au menu de ces boutiques. Les fans de cinéma et d'humour seront ravis d'apprendre que selon une plaque officielle, c'est dans une des maisons de Neale's Yard, à Seven Dial, qu'a "vécu le cinéaste Monty Python entre 1976 et 1987". Sur le coup, je n'ai pas trop compris de quel membre du célèbre groupe on parlait, mais après recherches, j'ai compris qu'il s'agissait du studio d'animation et de montage des Monty Python qui se trouvait là.
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Évidemment, avec tout ce qu'elle offre, il est également impensable que je puisse faire la relation de toutes mes visites sur ce blogue. Je vais donc, avant de conclure mes reportages-photos du Royaume-Uni, publier quelques billets sur les attractions et quartiers de Londres que j'ai visité lors de mes deux dernières visites de la capitale avant mon retour au pays, puisque j'ai déjà couvert l'essentiel de mes découvertes de mes premières visites.
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Le secteur appelé Seven Dials se trouve juste au nord de Covent Garden, non loin, donc du quartier des théâtres et d'un important secteur commercial. Il tient son nom d'une place centrale sise à un carrefour où se rejoignent pas moins de sept rues. Le quartier avait été ainsi conçu pour maximiser les loyers potentiels (on louait alors au pied linéaire en façade, le quartier adoptait des rues en triangles pour maximiser les longueur de façade).
L'endroit est marqué par une colonne monumentale (sundial pillar), et quelques motifs dans le pavé de la place - ainsi qu'un cadran solaire à l'aide duquel on peut déterminer l'heure, si j'ai bien compris, mais pas par une nuit sans lune...
Chacune des rues est occupée par divers commerces locaux. Ce qui fait l'intérêt de Seven Dials, c'est l'assemblage hétéroclite de boutiques indépendantes. Ne cherchez pas de bannières populaires ici, mais vous trouverez des commerces aussi divers qu'originaux. Ceci ferait la joie du concepteur d'origine du quartier en 1690 - Thomas Neale - puisqu'il voulait que l'endroit devienne un lieu synonyme de qualité, d'originalité et de mode, bref, un coin en vue.
Malheureusement pour Neale, l'affaire n'a pas fonctionné immédiatement et le quartier est devenu un taudis. Ça aura pris un développement renouvelé à la fin des années 1890 et l'installation d'artistes, pour remettre Seven Dials sur la carte de la respectabilité. Aujourd'hui, la brasserie "The Two Brewers" m'a interpellé pour diverses raisons (dont une référence à Montréal).
Après une découverte nocturne du quartier, j'y suis repassé de jour, où j'ai pu explorer quelques éléments architecturaux et de décor, qui y sont fort colorés, comme ici, à Neale's Yard, une des quelques cours intérieures qui se trouvent entre les rues en rayon.
Autres édifices de Neale's Yard.
Parmi les rues les plus connue, on retrouve sur Monmouth Street, une plaque informant le passant que c'est là qu'était situé la compagnie de Brian Epstein, le gérant des Beatles.
Originalité et couleur au menu de ces boutiques. Les fans de cinéma et d'humour seront ravis d'apprendre que selon une plaque officielle, c'est dans une des maisons de Neale's Yard, à Seven Dial, qu'a "vécu le cinéaste Monty Python entre 1976 et 1987". Sur le coup, je n'ai pas trop compris de quel membre du célèbre groupe on parlait, mais après recherches, j'ai compris qu'il s'agissait du studio d'animation et de montage des Monty Python qui se trouvait là.
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