Un court billet pour mentionner quatre textes récemment édités/réédités et disponibles en ligne.
Le premier est une nouvelle épistolaire intitulée Hôtel Hilton, 11 février, qui avait à l'origine été publiée sur mon site web en 2004. Cette nouvelle mettait en scène des événements (fictifs) se déroulant entre 2004 et 2012. Je l'ai revisitée récemment, en réalisant que ce qui s'y déroulait était maintenant entièrement dans le passé. Pour l'occasion, je l'ai rééditée en l'incorporant à ce blogue, et en y ajoutant des notes datées du 22 février 2012, soit 11 jours après la fin de la nouvelle et qui permettent de jeter un regard différent sur celle-ci.
Une autre visite dans mes archives a débouché sur la réédition d'une nouvelle intitulée Une soirée tranquille, publiée originalement en 2001 en tirage limité. Vous ne trouverez le texte nulle part, mais les Éditions de l'A Venir proposent maintenant une adaptation audio de la nouvelle, lue par Christian Martin. J'avoue avoir trouvé vraiment intéressant d'écouter cette adaptation, qui est en quelques sortes la vision de Martin de ma nouvelle; c'est sa voix (au sens littéraire), ainsi que les effets sonores et la musique qu'il a choisi d'y intégrer. Les lecteurs attentifs remarqueront peut-être qu'une partie de ce qui se déroule à Vancouver dans cette nouvelle ressemble fort à une partie de la nouvelle La petite brune aux yeux verts, publiée il y a quelques mois dans Solaris 180, et dont les événements se déroulent par contre à Montréal. On comprendra que les deux histoires racontent simplement les mêmes événements (ou presque), mais dans le contexte de deux trames possibles dans l'univers où évolue le ZL de La petite brune aux yeux verts et de Au plus petit café du monde. (Solaris 163).
Puis, par hasard, pour répondre à une demande, j'ai dû fouiller dans mes archives plus anciennes et m'y perdant pendant quelques heures, j'y ai découvert un court texte, issue d'une époque où je me pratiquais à écrire tous les jours, peu importe ce qui sortait. Quelques nouvelles de cette époque forment des short-short, dont certaines ont été publiées, alors que d'autres textes étaient plutôt inclassables. J'ai mis en ligne un de ces textes hier, en prévision du présent billet, texte qui s'intitule Ock. Ock devait être le premier d'une petite série d'aventures d'hommes préhistoriques racontées avec le regard moderne, et dans lesquels j'allait explorer quelques thématiques un peu absurdes.
Enfin, c'est totalement par hasard, en faisant une recherche sur autre chose, que je suis tombé sur la mise en ligne d'une de mes premières nouvelles publiées (ma seconde nouvelle, en fait, tel que je le mentionnais ici en décembre dernier). Suite à la publication du catalogue de la revue Brèves Littéraires sur le portail Érudit, on peut lire ma nouvelle Le Marchand de rêves directement en ligne en accédant au texte en PDF issu de la revue.
Suite à ces diverses éditions/rééditions, j'ai donc mis à jour mon billet de fictions disponibles en ligne.
Bonne lecture.
Le premier est une nouvelle épistolaire intitulée Hôtel Hilton, 11 février, qui avait à l'origine été publiée sur mon site web en 2004. Cette nouvelle mettait en scène des événements (fictifs) se déroulant entre 2004 et 2012. Je l'ai revisitée récemment, en réalisant que ce qui s'y déroulait était maintenant entièrement dans le passé. Pour l'occasion, je l'ai rééditée en l'incorporant à ce blogue, et en y ajoutant des notes datées du 22 février 2012, soit 11 jours après la fin de la nouvelle et qui permettent de jeter un regard différent sur celle-ci.
Couverture de l'édition originale de "Une soirée tranquille" en 2001. |
Puis, par hasard, pour répondre à une demande, j'ai dû fouiller dans mes archives plus anciennes et m'y perdant pendant quelques heures, j'y ai découvert un court texte, issue d'une époque où je me pratiquais à écrire tous les jours, peu importe ce qui sortait. Quelques nouvelles de cette époque forment des short-short, dont certaines ont été publiées, alors que d'autres textes étaient plutôt inclassables. J'ai mis en ligne un de ces textes hier, en prévision du présent billet, texte qui s'intitule Ock. Ock devait être le premier d'une petite série d'aventures d'hommes préhistoriques racontées avec le regard moderne, et dans lesquels j'allait explorer quelques thématiques un peu absurdes.
Enfin, c'est totalement par hasard, en faisant une recherche sur autre chose, que je suis tombé sur la mise en ligne d'une de mes premières nouvelles publiées (ma seconde nouvelle, en fait, tel que je le mentionnais ici en décembre dernier). Suite à la publication du catalogue de la revue Brèves Littéraires sur le portail Érudit, on peut lire ma nouvelle Le Marchand de rêves directement en ligne en accédant au texte en PDF issu de la revue.
Suite à ces diverses éditions/rééditions, j'ai donc mis à jour mon billet de fictions disponibles en ligne.
Bonne lecture.
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