Szentendre est une petite ville au nord de Budapest, le long du Danube, dont on a déjà dit qu’elle était la Montmartre du Danube, puisque la ville est devenue célèbre pour ses artistes et artisans, attirés par les vues bucoliques et l’ambiance campagnarde qui y règne. Aujourd’hui, cette réputation a fait de Szentendre une ville aussi touristique qu’artistique, et il s’est donc développé toute une industrie autour de ce nouveau marché; terrasses, cafés, resto et bar côtoient les maisons colorées et les rues étroites zigzaguant en pente vers des places ou églises entourées d’arbres. Bref, une jolie petite ville dont le charme était parfait pour passer la plus grande partie d’une journée à l’extérieur de la capitale.
La petite église St-Jean domine la plus haute colline de la ville, et la tranquille place qui l’entoure offre des vues imprenables sur les toits de tuiles orange des maisons environnantes.
Rues pavées de roches, maisons colorées, quasi absence de véhicules, Szentendre, dont le nom hongrois honore St-André, peut être un véritable havre de paix.
À part le secteur plus touristique entre Fo Ter et le Danube, on ne retrouve presque pas de touristes ailleurs dans la ville, où il y a pourtant des trouvailles intéressantes, comme ce coin tranquille avec un café joliment décoré.
Incontournable calèche pour les balades romantiques au son des sabots sur les pavés.
L’urbanisme de Szentendre ne facilite pas la vie aux usagers de voitures. Entre les rues étroites, les sens uniques, l’absence de stationnement et les rues en escaliers, on voit bien le parti-pris que les gens de Szentendre pour une vie calme.
Quelques ruelles sont très étroites et comportent des marches à divers degrés, comme ici, entre l’église St-Jean et Fo Ter où on a fait une découverte culinaire locale.
L’église St-Pierre-St-Paul s’élève sur un quartier absolument charmant.
Istvan et moi fiers de notre langos, une spécialité locale. C’est une sorte de pâte à levure frite et recouverte de fromage (avec crème sure dans le cas d’Istvan, sauce chili pour moi). L’affaire s’est avérée délicieuse.
La cathédrale orthodoxe Belgrade rappelle au visiteur que Szentendre – comme une partie de la Hongrie – a une population Serbe dont la présence remonte à plusieurs siècles.
Une petite rue qui serpente, pavée de roche, est peut-être le dernier endroit où l’on pense trouver une taverne. Pourtant.
L’aspect campagnard tranquille des lieux ne doit pas faire croire en l’absence d’un certain luxe. Ici, par exemple, j’attire votre attention sur la verrière de la maison de droite, que l’on aperçoit en haut.
Szuze et Istvan près de l’église St-Pierre-St-Paul de Szentendre.
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La petite église St-Jean domine la plus haute colline de la ville, et la tranquille place qui l’entoure offre des vues imprenables sur les toits de tuiles orange des maisons environnantes.
Rues pavées de roches, maisons colorées, quasi absence de véhicules, Szentendre, dont le nom hongrois honore St-André, peut être un véritable havre de paix.
À part le secteur plus touristique entre Fo Ter et le Danube, on ne retrouve presque pas de touristes ailleurs dans la ville, où il y a pourtant des trouvailles intéressantes, comme ce coin tranquille avec un café joliment décoré.
Incontournable calèche pour les balades romantiques au son des sabots sur les pavés.
L’urbanisme de Szentendre ne facilite pas la vie aux usagers de voitures. Entre les rues étroites, les sens uniques, l’absence de stationnement et les rues en escaliers, on voit bien le parti-pris que les gens de Szentendre pour une vie calme.
Quelques ruelles sont très étroites et comportent des marches à divers degrés, comme ici, entre l’église St-Jean et Fo Ter où on a fait une découverte culinaire locale.
L’église St-Pierre-St-Paul s’élève sur un quartier absolument charmant.
Istvan et moi fiers de notre langos, une spécialité locale. C’est une sorte de pâte à levure frite et recouverte de fromage (avec crème sure dans le cas d’Istvan, sauce chili pour moi). L’affaire s’est avérée délicieuse.
La cathédrale orthodoxe Belgrade rappelle au visiteur que Szentendre – comme une partie de la Hongrie – a une population Serbe dont la présence remonte à plusieurs siècles.
Une petite rue qui serpente, pavée de roche, est peut-être le dernier endroit où l’on pense trouver une taverne. Pourtant.
L’aspect campagnard tranquille des lieux ne doit pas faire croire en l’absence d’un certain luxe. Ici, par exemple, j’attire votre attention sur la verrière de la maison de droite, que l’on aperçoit en haut.
Szuze et Istvan près de l’église St-Pierre-St-Paul de Szentendre.
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