Vous connaissez déjà mon penchant pour les murales urbaines... voici donc un petit billet-photos sur quelques éléments intéressants aperçus lors des longues marches que j'ai prises en ville depuis mon retour d'Espagne.
Ce n'est évidemment pas une murale urbaine, mais j'aime beaucoup ce genre de vestige qui reflète une partie de la culture du passé. Cet affichage en anglais (sur Le Plateau, en plus) est le fait de Bland Nurses Outfitters, un fabricant montréalais dont quelques rares pièces sont visibles au Musée du costume et du textile du Québec (au Marché Bonsecours), pièces qui datent de 1954 à 1961, ce qui fourni l'information sur l'époque de cette publicité inscrite sur un édifice de Montréal.
Lors de mes tournées de printemps sur les nouvelles murales urbaines, je n'avais pas remarqué celle-là, montrant un imposant robot (qui occupe tout l'arrière d'un édifice de plusieurs étages), avec des détails fort intéressants (sur Clarke au sud de Mont-Royal).
Dans la série des oeuvres éphémères (plusieurs des images montrées sur ce blogue dans la catégorie des murales urbaines ne sont déjà plus visibles sur le terrain), on notera cet amusant amalgame de Star Wars et graffiti du milieu de la mode.
Un détour sur St-Grégoire (entre St-Hubert et Papineau) m'a fait noter cette scène, vaguement SF mais essentiellement New Age, à l'entrée d'une ruelle.
Il n'y a pas que les murales qui offrent des nouveaux visages à Montréal. J'ai eu la surprise de découvrir, directement sur la Place d'Armes, deux nouvelles grandes sculptures, dont celle-ci, intitulée «Poodle Français». La plaque ne mentionne ni l'identité de la dame au masque allongé sur le nez, ni le rôle de celle-ci ou de son chien.
De l'autre côté de la place - les deux sculptures étant situées de part et d'autres de l'édifice rectangulaire noir de la Banque Nationale - on retrouve la réponse anglaise avec la sculpture de cet homme (lui aussi avec un masque lui allongeant le nez), intitulée «English Pug», qui forme donc la seconde partie de ce diptyque nouveau.
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Ce n'est évidemment pas une murale urbaine, mais j'aime beaucoup ce genre de vestige qui reflète une partie de la culture du passé. Cet affichage en anglais (sur Le Plateau, en plus) est le fait de Bland Nurses Outfitters, un fabricant montréalais dont quelques rares pièces sont visibles au Musée du costume et du textile du Québec (au Marché Bonsecours), pièces qui datent de 1954 à 1961, ce qui fourni l'information sur l'époque de cette publicité inscrite sur un édifice de Montréal.
Lors de mes tournées de printemps sur les nouvelles murales urbaines, je n'avais pas remarqué celle-là, montrant un imposant robot (qui occupe tout l'arrière d'un édifice de plusieurs étages), avec des détails fort intéressants (sur Clarke au sud de Mont-Royal).
Dans la série des oeuvres éphémères (plusieurs des images montrées sur ce blogue dans la catégorie des murales urbaines ne sont déjà plus visibles sur le terrain), on notera cet amusant amalgame de Star Wars et graffiti du milieu de la mode.
Un détour sur St-Grégoire (entre St-Hubert et Papineau) m'a fait noter cette scène, vaguement SF mais essentiellement New Age, à l'entrée d'une ruelle.
Il n'y a pas que les murales qui offrent des nouveaux visages à Montréal. J'ai eu la surprise de découvrir, directement sur la Place d'Armes, deux nouvelles grandes sculptures, dont celle-ci, intitulée «Poodle Français». La plaque ne mentionne ni l'identité de la dame au masque allongé sur le nez, ni le rôle de celle-ci ou de son chien.
De l'autre côté de la place - les deux sculptures étant situées de part et d'autres de l'édifice rectangulaire noir de la Banque Nationale - on retrouve la réponse anglaise avec la sculpture de cet homme (lui aussi avec un masque lui allongeant le nez), intitulée «English Pug», qui forme donc la seconde partie de ce diptyque nouveau.
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