Le lecteur qui me suit depuis un moment ne sera pas étonné de me savoir heureux de partir pour Rome.
Rome, c'est évidemment le coeur de l'empire romain, une période de l'histoire qui m'intéresse particulièrement. Mes lectures d'Astérix dans ma jeunesse n'y sont pas étrangères, évidemment, mais je n'étais pas le seul lecteur du petit gaulois et même si mes amis ont laissé cette époque derrière eux, mon intérêt pour l'histoire de l'empire romain ne s'est jamais estompé. Au contraire, mes voyages ont nourri cet intérêt, et au fil des ans, des lectures en ont fait autant. J'avais d'ailleurs parlé de cet intérêt d'un point de vue littéraire (et cinématographique) dans un court billet il y a quelques années déjà.
Mais si l'empire romain me fascine, c'est évidemment par les artéfacts que cette civilisation a laissé derrière elle un peu partout sur le très vaste territoire qu'elle occupait.
On parle d'une civilisation qui se déplaçait à pied, à cheval et en bateau. Dans les circonstances, l'étendue de l'empire est très impressionnant. J'ai eu la chance, au cours de mes voyage, de visiter plusieurs sites archéologiques montrant des vestiges de cette époque (on parle de lieux vieux de 1600 à plus de 2000 ans). De la Dalmatie au bout du mur érigé par Hadrien en Bretagne aux limites nord de l'empire, en passant par la Pannonia, la Mauritanie, la Gaule et l'Hispanie, dès qu'il y a un site à proximité, aussi petit soit-il, je fais le détour pour le visiter. Les sites archéologiques sont parfois des villes entières, parfois quelques vestiges dans une ville qui s'est (re)développée dans les époques subséquentes. Alors que la plupart des touristes visitent les sites majeurs sans trop s'attarder aux "petites ruines", chaque site datant de l'époque romaine s'est avéré intéressant pour ce voyageur-ci.
Alors imaginez Rome, avec l'étendue des ruines qu'on trouve dans l'ancienne cité et la quantité de "petites ruines" qui parsèment la ville...
Ma mère, qui sera du voyage avec mon père et moi, s'inquiète du fait que je retournerai à un endroit déjà visité au lieu de visiter quelque chose de nouveau. Ce qu'elle n'a pas encore saisi, c'est que je n'ai passé que 5 jours à Rome, et c'était il y a 11 ans, alors 5 jours de plus cette année seront loin d'être une corvée pour un aussi grand fan de l'empire romain!
Elle comprendra bien quand elle verra Rome pour la première fois, et qu'elle me verra m'amuser à prendre des photos au Forum ou sur Palatine Hill.
--
Rome, c'est évidemment le coeur de l'empire romain, une période de l'histoire qui m'intéresse particulièrement. Mes lectures d'Astérix dans ma jeunesse n'y sont pas étrangères, évidemment, mais je n'étais pas le seul lecteur du petit gaulois et même si mes amis ont laissé cette époque derrière eux, mon intérêt pour l'histoire de l'empire romain ne s'est jamais estompé. Au contraire, mes voyages ont nourri cet intérêt, et au fil des ans, des lectures en ont fait autant. J'avais d'ailleurs parlé de cet intérêt d'un point de vue littéraire (et cinématographique) dans un court billet il y a quelques années déjà.
Mais si l'empire romain me fascine, c'est évidemment par les artéfacts que cette civilisation a laissé derrière elle un peu partout sur le très vaste territoire qu'elle occupait.
On parle d'une civilisation qui se déplaçait à pied, à cheval et en bateau. Dans les circonstances, l'étendue de l'empire est très impressionnant. J'ai eu la chance, au cours de mes voyage, de visiter plusieurs sites archéologiques montrant des vestiges de cette époque (on parle de lieux vieux de 1600 à plus de 2000 ans). De la Dalmatie au bout du mur érigé par Hadrien en Bretagne aux limites nord de l'empire, en passant par la Pannonia, la Mauritanie, la Gaule et l'Hispanie, dès qu'il y a un site à proximité, aussi petit soit-il, je fais le détour pour le visiter. Les sites archéologiques sont parfois des villes entières, parfois quelques vestiges dans une ville qui s'est (re)développée dans les époques subséquentes. Alors que la plupart des touristes visitent les sites majeurs sans trop s'attarder aux "petites ruines", chaque site datant de l'époque romaine s'est avéré intéressant pour ce voyageur-ci.
Alors imaginez Rome, avec l'étendue des ruines qu'on trouve dans l'ancienne cité et la quantité de "petites ruines" qui parsèment la ville...
Ma mère, qui sera du voyage avec mon père et moi, s'inquiète du fait que je retournerai à un endroit déjà visité au lieu de visiter quelque chose de nouveau. Ce qu'elle n'a pas encore saisi, c'est que je n'ai passé que 5 jours à Rome, et c'était il y a 11 ans, alors 5 jours de plus cette année seront loin d'être une corvée pour un aussi grand fan de l'empire romain!
Elle comprendra bien quand elle verra Rome pour la première fois, et qu'elle me verra m'amuser à prendre des photos au Forum ou sur Palatine Hill.
--
«Palatine Hill»?!
RépondreSupprimerDans la langue de l'Empire, je suppose? ;O)
Haha, je vois que tu me lis encore!
SupprimerMerci de me corriger cette fois-ci, tu as parfaitement raison.
Évidemment, n'étant pas encore sur place, je n'ai pu voir le nom en italien de ce qui est Mons Palatinus en latin.
"Mont Palatin" en français, peut-être?
Je sais que c'est de ce nom d'une des 7 collines originales de Rome qu'on a dérivé le mot Palais, tiens.
Et je soupçonne fort que G. Lucas se soit inspiré de ce nom pour le nom de son empereur (Palpatine), comme il a pigé dans toutes sortes d'autres sources pour baptiser divers pans de son univers.
En fait, ces noms sont tellement «classiques» qu'on dit simplement «le Quirinal», «le Palatin», «le Capitole», etc. Eh oui, le Capitole était, avant tout, l'une des sept collines de Rome. Collines ou monts qui sont, au mieux, des buttes, comme tu l'as sûrement noté à ton premier voyage...
RépondreSupprimerOui, des buttes dans la ville... Le Palatin, alors. Je savais pour le Capitole... et pour mon utilisation de l'anglais (Hill), c'est qu'évidemment, mon guide de voyage est dans la langue de Shakespeare...
Supprimer