jeudi 9 octobre 2008

Mont-Tremblant en automne - Faune

Hum, je reprends un peu de retard sur ce blog, qui a été silencieux pendant quelques jours. J'ai été occupé à planifier et organiser mon départ prochain - dont les détails suivront d'ici quelques semaines sur ce journal - et comme vous avez pu le lire sur le billet précédent, j'ai aussi profité de l'automne pour faire un peu de randonnée.
Ma randonnée à Tremblant m'a permis d'apercevoir quelques représentants de la faune locale particulièrement intéressants.
J'ai donc décidé de faire de leur présence sur les sentiers un billet à part.
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Le premier mais non le moindre, quand même, a été ce papillon (ne me demandez pas la sorte, je n'y connais rien en papillons!). On ne peut pas juger de l'envergure ici, mais la largeur totale des ailes est d'environ huit centimètres, ce qui est fort respectable pour un papillon. La photo, prise au téléobjectif, ne rend pas les couleurs bleues et jaunes du pourtour des ailes aussi saisissantes que l'observation directe.

Au sommet du Mont-Tremblant, j'ai remarqué cet oiseau juché au sommet d'un conifère. Je lui ai trouvé fière allure, avec ses teintes de jeune et de bleu.

Nous avons vu quelques tamias lors de la randonnée elle-même, mais il aura fallu attendre le dernier aperçu pour que je puisse m'approcher assez pour capter cette photo. Ses pattes avant sont occupées à manipuler une cacahuète, ce qui explique le petit effet flou involontaire de la photo. La difficulté, quand on tente de photographier les petites suisses, c'est leur rapidité de mouvement et leurs départs brusques. Et ils sont farouches!

La plus belle surprise de la randonnée a certainement été l'apparition de quelques chevreuils près du sentier lors de la descente. J'ai réussi à m'approcher pour prendre quelques très jolies photos de ces beaux représentants du règne animal local.

Ce jeune chevreuil portait attention à mes moindres mouvements, mais n'a pas paru trop effrayé de mon approche prudente. Heureusement, personne n'arrivait à contre-sens ni ne nuos suivait de trop près dans la descente. Nous avons alors eu tout le loisir de profiter de la présence de ces superbes animaux.

Alors que le plus jeune des trois chevreuils me fixe joujours, le plus grand tourne son attention vers Suze, demeurée quelques dizaines de mètres derrière moi sur le sentier.

Je dois avouer ici - sans vouloir faire de polémique - que personnellement, je ne comprendrai jamais pourquoi certaines personnes ressentent le besoin de tirer sur ces animaux, alors que la chasse photographique que j'ai effectuée s'est avérée si excitante. Aucune arme à feu ne m'aurait permis de prendre un cliché comme celui-ci. Le long moment que j'ai partagé avec Suze et les trtois chevreuils a été un moment de grande beauté... d'émerveillement, même.
La vie est si belle, lorsque vue dans la nature, que je ne ressens pas le besoin de m'y opposer. Je préfèere en profiter.
(On me parlera de nourriture, mais je vois mal comment une tête d'animal sur un pick-up comble la faim, alors...).
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Voilà qui conclus mon reportage photo sur ma visite à Tremblant cet automne. Et ce n'était certainement pas la dernière fois que j'y allais randonner.
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1 commentaire:

  1. Anonyme6:35 PM

    salut, jolies photos de randonnée!
    le papillon est est un Morio et l'oiseau un mésangeai du Canada

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