Capitalisme, communisme, socialisme, Fidel, Raul... Il y a des millions d'habitants de Cuba qui sont totalement indifférents à ce débat politique...
Voici quelques-uns de ces individus que j'ai pris en photo lors de mon séjour.
;-)
Cuba ne fait pas exception à cette observation de race indéterminée mais similaire dans toute l'Amérique Latine, ce que j'ai baptisé le perro latino. Caroline, rencontrée à Cuba, les appelle des Rantanplan, et c'est un nom qui leur va à merveille!
Cette grenouille me paraît particulièrement bien adaptée à la vie en tout inclus, avec ses ventouses pratiques pour s'agripper aux chaises de piscine avant le spectacle aquatique!
Lors de ma randonnée en vélo, le sentier a soudainement été envahi par un troupeau de chèvres et de moutons (sans laine). Les deux vaches présentes n'ont rien fait pour m'aider à traverser la mêlée... Aucune chèvre ne s'est avérée très volubile quand j'ai abordé la question politique, par contre.
Ce crabe tentait de passer en douce sous ma chaise de plage, lors de ma dernière soirée à la Playa Cazonal. Notez les traces de pas qui trahissent sont arrivée (en bas, à gauche). Questionné sur les élections, ils s'est contenté de s'esquiver de côté, sans me lâcher des yeux.
Ce petit être très fluorescent s'est arrêté une seconde pour la photo, puis a sauté dans les buissons de l'autre côté de ce plan d'eau avant que je n'ai pu lui demander son nom.
Dans les ruines de l'ancienne plantation de café La Isabelica, difficile de dire si ce chaton se plaignait du régime politique actuel ou de la simple présence de touristes sur son territoire. Remarquez, il appelait peut-être simplement sa maman...
Si celui-ci est indifférent au régime politique actuel, il est par contre fier du passé de contre-piraterie de la région, qui lui permet de pouvoir profiter du soleil sur les ramparts du Castillo el Morro.
Après les deux personnes qui ont procédés à mon check in à l'hôtel, c'est le premier cubain que j'ai rencontré sur la Playa Cazonal à mon arrivée! Je l'ai appelé Bernard! Remarquez la grosseur des grains de sable et ça vous donnera l'échelle de cette photo, et la taille de Bernard.
L'âne cubain n'a pas eu l'air plus impresionné de voir passer un touriste que ses cousins du continent... Il est retourné à ses occupations avant que je n'aie eu le temps d'aborder les questions politiques.
Ce rassemblement dans la Sierra Maestra était ouvert à la discussion, à l'exception de quelques individus pas très à l'aise d'aborder le sujet de la Baie des cochons. :-))
Celui-ci, qui se balade le long d'une plantation de bananiers n'a même pas levé le regard ou ralenti le pas quand j'ai voulu lui parler!
Cette chèvre, occupée à couper le gazon le long du passage entre les hôtels Carisol et Corales était en pleine discussion politique avec cet oiseau mais ils ont semblé changer de sujet en me voyant arriver. La crainte de représailles s'ils parlaient politique avec un touriste?
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:-)
Je n'ai, évidemment, pas pu résister à la tentation, et en plus, plusieurs lecteurs connaissent mon intérêts pour la faune lors de mes voyages...
Tu m'as bien fait rire! :-))) C'est pas dans nos médias qu'on pourrait lire de tels reportages sur les opinions politiques des habitants de Cuba. :-) Et j'adore tes photos d'animaux. Ah les grenouilles, les lézards et les chiens cubains! Tu me donnes envie d'y retourner...
RépondreSupprimerMerci Danièle...
RépondreSupprimerSouvent, en voyage, le sens de l'humour est l'outil le plus utile dans mon backpack.
Hugo
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