Un autre Boréal qui vient de se terminer - je publie ceci avec quelques jours de retard, puisque je ne disposais pas de Wifi sur place (c'est, ironiquement, quand on se réunit entre écrivains de l'imaginaire, de SF, d'infinité des possibilités scientifiques futuristes que l'on a le plus de difficultés à avoir du Wifi).
Bref, un court reportage photo de mon congrès, qui fut, comme de coutume, fort intéressant. Dans mon cas personnel, en plus des conversations de couloir et souvent informelles qui sont toujours parmi les moments agréables des congrès - on retrouve des amis que l'on ne voit que trop peu souvent dans ces congrès - ce Boréal 2018 a été assez fructueux côté avancement de certains de mes projets en fiction.
Enfin, et c'est également toujours le cas de la majorité des Boréal, c'est stimulant d'assister aux activités et d'échanger avec d'autres auteurs, et je ressors de l'exercice encouragé et enthousiaste à l'idée des projets d'écriture qui m'attendent dans les prochains mois.
A tous ceux que j'ai croisé, merci de votre compagnie, ce congrès a été une réussite.
Et évidemment, un immense merci aux organisateurs et bénévoles.
Accueil du congrès au 5e étage (vu du 6e) du Temple Maçonnique de Montréal, un édifice impressionnant - j'y reviendrai avec des détails architecturaux dans un prochain billet.
Les salles étaient vastes, heureusement, car il y avait un nombre de participant assez élevé, d'après mes estimés, c'était certainement un des Boréal les plus achalandé auquel j'ai assisté.
Quelques salles intermédiaires servaient pour certaines activités plus intimistes comme les rencontres avec certains auteurs, ou pour les activités informelles toujours nombreuses dans ces congrès.
Guillaume Voisine et Josée Lepire, juste avant la table ronde sur l'état de la chaine du livre au Québec - un panel assez déprimant, mais honnête sur l'état des lieux.
La foule assistant à la table ronde - à laquelle participaient également Séléna Bernard de Bragelonne Québec et Jean Pettigrew de chez Alire.
Comme le congrès se tenait dans un édifice historique (et je l'avoue, un peu mystérieux de par le fait qu'il abrite les activités d'un des plus vieux clubs privés du monde), quelques-uns d'entre nous n'avons pu résister à explorer les autres étages. Ici, Daniel Sernine qui prend Natasha Beaulieu en photo dans une grande salle du 7e étage (que l'on a baptisé la cour suprême de l'endroit).
Dernière journée, Guy Sirois qui lit l'essai "Écrire et publier au Québec: les littératures de l'imaginaire" (va-t-il se remettre à ré-écrire et re-publier?) alors que Sylvie Lamothe se repose.
Un classique des Boréal: le fabuleux et hilarant concours de Maltraitement de texte, animé avec mauvaise foi et arrogance pas un Yves Meynard particulièrement en forme cette année. Les participants, Alain Ducharme, Éric Gauthier, Isabelle Lauzon et Dave Côté l'ont emporté sur le public (une fois de plus), Alain terminant grand champion... Il avait l'air content, même s'il s'agit d'un concours récompensant essentiellement les plus mauvais textes, allez comprendre! :-)
Fin de congrès et honneurs 1: Élisabeth Vonarburg qui est intronisée au Temple canadien de la renommée de la science-fiction et du fantastique.
Fin de congrès et honneurs 2: Luc Dagenais qui remporte le Prix Solaris 2018 avec un texte, nous dit l'éditeur Jean Pettigrew, qui est un des meilleurs de l'histoire de ce Prix. À lire dans le prochain numéro de la revue Solaris, à l'été 2018. Jonathan Reynolds, coordonnateur de la revue, présentait le Prix.
--
Ainsi se terminait mon congrès... dont la conclusion complète sera pour moi la publication de ma nouvelle écrite sur place (et lauréate du prix Boréal du concours d'écriture sur place catégorie auteurs professionnels). "Frill l'avatar au long museau" paraitra donc dans le numéro d'été de Solaris, en compagnie des deux lauréates catégorie auteures montantes (Mariane Cayer et Clémence Meunier) ainsi que de Luc Dagenais, lauréat du Prix Solaris.
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Bref, un court reportage photo de mon congrès, qui fut, comme de coutume, fort intéressant. Dans mon cas personnel, en plus des conversations de couloir et souvent informelles qui sont toujours parmi les moments agréables des congrès - on retrouve des amis que l'on ne voit que trop peu souvent dans ces congrès - ce Boréal 2018 a été assez fructueux côté avancement de certains de mes projets en fiction.
Enfin, et c'est également toujours le cas de la majorité des Boréal, c'est stimulant d'assister aux activités et d'échanger avec d'autres auteurs, et je ressors de l'exercice encouragé et enthousiaste à l'idée des projets d'écriture qui m'attendent dans les prochains mois.
A tous ceux que j'ai croisé, merci de votre compagnie, ce congrès a été une réussite.
Et évidemment, un immense merci aux organisateurs et bénévoles.
Accueil du congrès au 5e étage (vu du 6e) du Temple Maçonnique de Montréal, un édifice impressionnant - j'y reviendrai avec des détails architecturaux dans un prochain billet.
Les salles étaient vastes, heureusement, car il y avait un nombre de participant assez élevé, d'après mes estimés, c'était certainement un des Boréal les plus achalandé auquel j'ai assisté.
Quelques salles intermédiaires servaient pour certaines activités plus intimistes comme les rencontres avec certains auteurs, ou pour les activités informelles toujours nombreuses dans ces congrès.
Guillaume Voisine et Josée Lepire, juste avant la table ronde sur l'état de la chaine du livre au Québec - un panel assez déprimant, mais honnête sur l'état des lieux.
La foule assistant à la table ronde - à laquelle participaient également Séléna Bernard de Bragelonne Québec et Jean Pettigrew de chez Alire.
Comme le congrès se tenait dans un édifice historique (et je l'avoue, un peu mystérieux de par le fait qu'il abrite les activités d'un des plus vieux clubs privés du monde), quelques-uns d'entre nous n'avons pu résister à explorer les autres étages. Ici, Daniel Sernine qui prend Natasha Beaulieu en photo dans une grande salle du 7e étage (que l'on a baptisé la cour suprême de l'endroit).
Dernière journée, Guy Sirois qui lit l'essai "Écrire et publier au Québec: les littératures de l'imaginaire" (va-t-il se remettre à ré-écrire et re-publier?) alors que Sylvie Lamothe se repose.
Un classique des Boréal: le fabuleux et hilarant concours de Maltraitement de texte, animé avec mauvaise foi et arrogance pas un Yves Meynard particulièrement en forme cette année. Les participants, Alain Ducharme, Éric Gauthier, Isabelle Lauzon et Dave Côté l'ont emporté sur le public (une fois de plus), Alain terminant grand champion... Il avait l'air content, même s'il s'agit d'un concours récompensant essentiellement les plus mauvais textes, allez comprendre! :-)
Fin de congrès et honneurs 1: Élisabeth Vonarburg qui est intronisée au Temple canadien de la renommée de la science-fiction et du fantastique.
Fin de congrès et honneurs 2: Luc Dagenais qui remporte le Prix Solaris 2018 avec un texte, nous dit l'éditeur Jean Pettigrew, qui est un des meilleurs de l'histoire de ce Prix. À lire dans le prochain numéro de la revue Solaris, à l'été 2018. Jonathan Reynolds, coordonnateur de la revue, présentait le Prix.
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Ainsi se terminait mon congrès... dont la conclusion complète sera pour moi la publication de ma nouvelle écrite sur place (et lauréate du prix Boréal du concours d'écriture sur place catégorie auteurs professionnels). "Frill l'avatar au long museau" paraitra donc dans le numéro d'été de Solaris, en compagnie des deux lauréates catégorie auteures montantes (Mariane Cayer et Clémence Meunier) ainsi que de Luc Dagenais, lauréat du Prix Solaris.
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