La revue Solaris fête ses 40 ans d'existence. Et pour l'occasion, la revue a invité 40 auteurs à signer une courte nouvelle dans un numéro spécial (le numéro 192 dont on retrouve le sommaire officiel ici).
À l'occasion de ce numéro d'anthologie (littéralement), chaque auteur a été appelé à sélectionner un sous-genre relevant de la SF, du fantastique ou de la fantasy, permettant donc à la revue d'offrir un éventail particulièrement large côté thématiques abordées dans ce numéro unique.
Je me retrouve donc au sommaire - je n'allais pas rater cet anniversaire - et en très prestigieuse compagnie; Esther Rochon, Élisabeth Vonarburg, Alain Bergeron, Daniel Sernine, Joël Champetier et plusieurs autres parmi les meilleurs auteurs de genre au Québec. C'est tout un honneur pour moi car c'est certainement la publication où je partage le sommaire avec le plus grand nombre d'écrivains que j'admire autant.
Pour ma modeste participation - les nouvelles ne devaient pas dépasser 750 mots - j'ai choisi le sous-genre fantastique des objets maléfiques et je signe donc une nouvelle intitulée Erinnerungsobjekteinfluß.
Par un amusant tour du hasard, cette histoire (peut-être ma plus courte nouvelle publiée) est celle qui doit avoir le titre en un mot le plus long de mes publications.
Plutôt que de vous laisser tenter de trouver la traduction de ce terme, d'origine allemande (puisque la nouvelle se déroule à Berlin), je vous en offre un extrait:
«Certains parlent de magnétisme, de géobiologie, de psychométrie, d’autres d’ondes rémanentes ou d’empreinte énergétique, sans offrir d’explications convaincantes sur le sujet. Pourtant, mes clients payent des sommes considérables pour acquérir ces objets.»
Je vous invite donc à lire le reste dans Solaris 192, et vous pourrez en prime mettre la main sur 39 autres histoires!
--
À l'occasion de ce numéro d'anthologie (littéralement), chaque auteur a été appelé à sélectionner un sous-genre relevant de la SF, du fantastique ou de la fantasy, permettant donc à la revue d'offrir un éventail particulièrement large côté thématiques abordées dans ce numéro unique.
Je me retrouve donc au sommaire - je n'allais pas rater cet anniversaire - et en très prestigieuse compagnie; Esther Rochon, Élisabeth Vonarburg, Alain Bergeron, Daniel Sernine, Joël Champetier et plusieurs autres parmi les meilleurs auteurs de genre au Québec. C'est tout un honneur pour moi car c'est certainement la publication où je partage le sommaire avec le plus grand nombre d'écrivains que j'admire autant.
Pour ma modeste participation - les nouvelles ne devaient pas dépasser 750 mots - j'ai choisi le sous-genre fantastique des objets maléfiques et je signe donc une nouvelle intitulée Erinnerungsobjekteinfluß.
Par un amusant tour du hasard, cette histoire (peut-être ma plus courte nouvelle publiée) est celle qui doit avoir le titre en un mot le plus long de mes publications.
Plutôt que de vous laisser tenter de trouver la traduction de ce terme, d'origine allemande (puisque la nouvelle se déroule à Berlin), je vous en offre un extrait:
«Certains parlent de magnétisme, de géobiologie, de psychométrie, d’autres d’ondes rémanentes ou d’empreinte énergétique, sans offrir d’explications convaincantes sur le sujet. Pourtant, mes clients payent des sommes considérables pour acquérir ces objets.»
Je vous invite donc à lire le reste dans Solaris 192, et vous pourrez en prime mettre la main sur 39 autres histoires!
--
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
L'Esprit Vagabond vous remercie de vous identifier (ou signer votre commentaire). Assumez vos opinions!
L'Esprit Vagabond est un blogue privé et ne publie pas de commentaires anonymes.