Cette année, j'ai débuté mes explorations couleurs dans la région de Lanaudière, où j'ai été passé quelques jours en camping avec Suze, Sophie et Martin (mes trois complices de l'Amérique du Sud en 2007).
Nous nous sommes installés une tente sur le terrain de Sophie et Martin à St-Côme, et nous avons exploré le secteur ainsi que les abords de la rivière Ouareau, non loin de St-Côme.
Je noterai pour l'anecdote que nous faisions du camping "sauvage" (sans terrain organisé, sans eau courante ni électricité), mais que nous étions très bien équipé, avec lunches, réchaud, tente avec vestibule, etc. Pour vous donner une idée, nous avons mangé des fromages avec baguette et vin le premier soir (un excellent merlot de chez Trapiche, souvenir d'Amérique du Sud en 2007, tiens) et nous avons dégusté des pâtes fraîches le lendemain (avec un vin rouge italien cette fois-ci, mais nous avions aussi pris une coupe de Bordeaux blanc en guise d'apéro, hehe).
Pour le reste, il a fait aux environs de zéro degrés la première nuit, mais probablement autour de 5 degrés la seconde nuit... Avec une bonne tente et de bons sacs de couchages, nous avons eu très chaud, en fait. Sophie, avec raison, qualifie le tout de camping de luxe!
Voici quelques photos de la région - je vous épargne les photos de camping elles-mêmes (bien qu'elles soient amusantes pour moi, elles sont peu intéressantes pour un lecteur de blogue).
Soleil de fin d'après-midi à St-Côme, dans la montagne entre le centre de ski et le terrain de golf en développement.
Passage d'outardes en migration au-dessus de notre installation en camping.
Suze près du pont suspendu au-dessus de la rivière Ouareau.
Entrée du sentier des murmures le long de la rivière, avec deux grands connifères qui montent la garde près des ruines d'un ancien foyer au bois.
Rapides de la rivière Ouareau en début d'après-midi.
Inukshuk sur une île artificielle vestige d'un ancien pont qui enjambait la rivière à cet endroit. Il faut croire que je ne suis pas le seul touriste à laisser des inulshuk sur mon passage.
Avec Martin près des rapides, le niveau de la rivière est très bas à cette saison, mais on peut imaginer le niveau au printemps à voir les berges qui sont parfois rongées assez haut. Les roches où nous nous trouvons sont innondées au printemps.
Les passerelles du sentier sont parfois un peu délabrées, ce qui leur donne un charme pittoresque, de mon point de vue, et qui fait de plus belels photos que s'il s'agissait de passerelles de bois traité entièrement neuves.
Alors que Suze et Martin observent la rivière, Sophie, comme moi, prend des photos!
(Vous connaissez ma propension à photographier les gens qui prennent des photos).
De retour vers le point de départ de la randonnée (environ 10 km en tout), Suze traverse le pont suspendu sous un soleil de fin d'après-midi.
Et nous terminons le tout par un feu de camp bienvenu pour nous réchauffer une fois le soir tombé (la température a fait de même).
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