Retour sur ce que septembre signifiera pour moi, maintenant que septembre est passé... mais ne passera jamais complètement.
(version française un peu plus bas)
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Evelyn y Septiembre
En septiembre, Evelyn
Una lluvia tibia caía
Sobre esta ciudad de latina América
Yo te esperaba
Impaciente de ver
Esta cara, y estos ojos
Después tanto tiempo
Después más que un año
Yo confeso, yo estaba un poco nervioso
Pero yo no soñaba
Porque tú apareciste
Y la lluvia desapareció
Encontramos ofreciendo a unos niños
Un poco de amor y de esperanza, sin saber
Que el destino nos tomó
Que la amistad uniría nos mundos
Evelyn en septiembre
Yo te encontré otra vez
Siempre bonita, y encantadora también
Estos maravillosos momentos
Que compartiremos
Son grabando para siempre
De todas las chicas
De todas las ciudades
Si el destino me trajo a ti
Yo necesito de salir
Pero voy a regresar
La vida, un día, nos unirá otra vez
Encontramos, sin hablar, simplemente
Quisimos, sin poder, vencer el tiempo
Y hoy, otra vez, nos falta
Vamos a encontrarnos al otro lado del silencio
Encontramos ofreciendo a unos niños
Un poco de amor y de esperanza, sin saber
Que este amor se volvería verso nosotros
Y que septiembre nos uniría por toda la vida
Hugues Morin, Quito, 2005
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Evelyn et septembre
En septembre, Evelyn
Une pluie tiède tombait
Sur cette ville d’Amérique latine
Moi je t’attendais
Impatient de revoir
Ce visage, et surtout ces yeux
Apres tout ce temps
Apres plus d’un an
J’avoue, j’étais un peu nerveux
Mais je ne rêvais pas
Car tu es apparue
Et soudain la pluie a disparue
On s’est connu en offrant à des enfants
Un peu d’amour et d’espoir sans savoir
Que le destin venait aussi de nous prendre
Que l’amitié venait d’unir nos deux mondes
Evelyn, en septembre
Je t’ai retrouvée
Toujours jolie et charmante aussi
Ces merveilleux moments
Ont été partagés
Et resterons à jamais gravés
De toutes les filles
De toutes les villes
Si le destin m’a rappelé vers toi
Je dois repartir
Mais je vais revenir
La vie un jour nous réunira
On s’est connu, sans parler, simplement
On a voulu, sans pouvoir, vaincre le temps
Et aujourd’hui, une fois encore, il nous manque
On se retrouvera de l’autre coté du silence
On s’est connu en offrant à des enfants
Un peu d’amour et d’espoir sans savoir
Que cet amour, vers nous se tournerait
Et que septembre nous unirait pour la vie
Hugues Morin, Quito, 2005
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