jeudi 30 septembre 2004

Panneau vu dans l'extrême nord-est de la ville de Vancouver:

Lynn Valley: 7km
Horseshoe Bay: 21km
Brazil: 11231 km

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Est-on si génétiquement programmé??
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J'ai fait plusieurs choses dnas ma vie et au point où j'en suis, je me pose parfois quelques questions... j'ai été plusieurs différents personnages, de scientifique aux études, d'enseignant et de comptable, de gestionnaire à homme de cinéma, de Barista à enseignant volontaire, écrivain et critique... qu'avais-je dans mes gênes qui me prédestinait à ces choses?
Sais pas.
Étrangement, par contre, depuis un an, j'ai noté que j'ai plusieurs projets en rapport avec l'enseignement dans ma tête, ou encore que ces projets sont souvent ceux qui m'attirent le plus, que je me suis chargé de la formation de nouveaux dans plusieurs de mes emplois antérieurs ou dans d'autres activités et que cette idéee de l'enseignement a aussi rattrapé une de mes soeurs depuis quelques années, alors qu'elle avait une toute autre carrière à l'origine... Est-ce étrange de savoir que mes deux parents ont une formation en enseignement et que mon père a oeuvré en enseignement pour la majeure partie de sa vie professionnelle?
Alors, qu'est-ce qu'il y a dans nos gênes qui nous prédispose à ce genre de chose? Mystère, ou bien c'est tout l'inverse et nous sommes le produit de notre environnement? Question éternellement sans réponses.
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Les aventures d'une paire de sandales
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Fabriquées en Asie du sud-est, expédiées au Canada par la suite, et mises en vente, les sandales trouvent preneur par hasard, dans une petite boutique de Dolbeau-Mistassini en avril 2001. À peine acclimatées au Québec, elles s'envolent moins d'une semaine plus tard pour la côte ouest où elles passent l'été à parcourir Vancouver pour se reposer par la suite pendant l'hiver. L'été suivant, beaucoup d'exercice les attends, elles visitent Seattle et Snoqualmie avant de prendre une autre période de repos pour l'hiver.
En mars 2003, elles se retrouvent au fond d'un backpack Artérix Bora 40 et en moins de temps qu'il ne faut pour dire ouf, elles sont dans la soute à baggage d'un avion de Brittish Ariways. Du fond de leur backpack, elles iront ainsi de Londres à Munich, en traversant la Belgique, la République Tchèque, l'Autriche. une fois arrivés au nord de l'Italie, à Vérona, elles sortent définitivement pour profiter du beau temps et fouleront l'Italie de long en large, en plus de visiter une partie de la Grèce et de se baigner dans la Mer Adriatique. De retour plus au Nord, elles longent la Méditerranée en s'y pointant le bout de la semelle de temps à autres.
Après un tel périple, elles reviennent se reposer dans leur pays d'adoption, le Lac-St-Jean, avant d'entreprendre un été occupé à Montréal, leur premier séjour dans cette ville. Plateau, rue Ste-Catherine, Mont-Royal... Quelques mois plus tard et un autre hiver derrière elles, elles retrouvent le fond de leur Bora 40 et filent sur un avion de la Continental Air Lines.
Après un séjour de quelques semaines dans la capitale de l'Équateur, elles se lancent à la conquête du reste du pays. Des sommets de la cordillière de l'ouest près de Loja aux ruines incas d'Ingapirca, jusqu'aux eaux tumultueuses de la côte Pacifique, elle longent les flans du Volcan Tungurahua pour enfin traverser en la foulant la ligne équatoriale.
Après ces années d'aventure, elles terminent leur vie active et leur périple autour du globe à Quito, ville qu'elles ont parcourrues pendant plusieurs semaines avec beaucoup de plaisir et capitale de ce petit pays d'Amérique du Sud...
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mardi 28 septembre 2004

En vrac, du Canada
Est-ce si paradoxal que j'écrive moins sur ce journal alors que j'ai un accès internet chez moi?
Voici ce qui occupe mon esprit depuis quelques jours.
Je suis revenu à Vancouver trop tard pour avoir la chance de me procurrer des billets pour le spectacle de Sting d’octobre prochain. Sans parler que j’ai pas l’argent pour acheter un billet anyway.
C’est Scarlett Johannson qui a repris le rôle délaissé par Kate Winslet dont j’avais parlé dans mon journal, dans le prochain film de Woody Allen.
Au Virgin Megastore de Robson Street, il y a des Cd d’artistes de partout dans le monde… dont quelques Cd’s d’artistes québécois (pas une tonne de Cds, mais tout de même le dernier Pier Béland et un Fernand Gignac). Ils n’ont qu’un seul Cd en provenance de la république Tchèque.
Quelqu’un m’a fait remarquer en janvier dernier qu’en espagnol, aimer et vouloir était le même verbe (querer). Ok, c’est vrai, mais en même temps, j’ai appris au fil de mes semaines en Amérique du Sud, j’ai appris les nuances. Aimer et vouloir sont en effet représentés par le même verbe, un peu comme en français d’ailleurs (j’aimerais avoir, je veux, j’aimerais ceci, je veux ceci, je te veux, je t’aime, etc)… Et le verbe aimer (d’amour) existe aussi en espagnol (amar)… C’est comme en anglais avec Like et Love… et en fait, j’ai fini par réaliser que c’est en français que nous n’avons qu’un seul verbe pour aimer et aimer alors que les deux autres langues ont deux verbes pour exprimer des nuances.
Je crois que malgré que je pense souvent encore à l’Équateur, je suis maintenant de retour au pays. Je veux dire dans ma tête, pas seulement physiquement de retour. C’est probablement ce mois de fou au travail, où j’ai littéralement travaillé 28 jours sur 30. Une bonne chose pour me ramener sur terre et dans un univers un peu plus réel que celui où je me trouve toujours quand je suis à l’étranger… remarquez, je passe mes temps libres à imaginer où aller la prochaine fois ;-)
Je ne vis pas en moi-même, disais le poète romantique anglais Byron, je deviens plutôt part de ce qui m’entourre.
Joël a raison et Christian a tort… Kirsten Dunst est jolie. Avez-vous vu Wimbledon? Le film est une bonne comédie romantique à la britannique, les parents du tennisman rappellent presque ceux de Bridget Jones!
C’est étrange, mais le bruit des sonneries de cellulaire dans le skytrain me rappellent qu’ils me manquaient à Montréal, alors même si j’ai une mauvaise journée, j’essai de la transformer en belle journée à cause de ces sonneries.
Il paraît que le film d’Yves Pelletier est bon (Les Aimants)? Ça me rappelle que je suis passé une fois sur le tournage, sur le plateau Mont-Royal, quelque part au printemps dernier.
L’acrylique me manque, malgré mon incompétence en la matière, je me suis rendu compte que j’aime bien faire de la peinture. Allez comprendre quelque chose.
Nous serons bientôt en octobre 2004. Avec 2005 à notre porte. On dirait de la science-fiction. Je travaille avec Vanessa Fuller, dont le nom me rappelle Miss Canada, à Quito: Vanessa Fisher. Vanessa ma collègue, elle avait justement été baptisé suite à l’élection d’une Miss Amérique qui s’appelait Vanessa (Williams).
Les souvenirs sont-ils des choses que l’on a ou des choses que l’on a perdu?
Ah, un détail insignifiant, mais bon, après tout, vous lisez ceci alors ;-):
J’ai une nouvelle (auparavant inédite) dans le dernier numéro de la revue Solaris (lien à droite pour infos, mais la nouvelle n’est disponible que dans la revue elle-même).
Je dois me coucher tôt ce soir, puisque mon réveil est programmé pour 4h AM, j’ouvre le Starbucks demain matin.
Bonne nuit, buenas noches, have a good night folks.

lundi 20 septembre 2004

Micro quoi??
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Juste un court mot, alors que mes problèmes informatiques semblent se régler avec une certaine facilité... depuis que j'ai pris la décision de retirer le plus de produits microsoft de ma machine possible. Je ne suis pas allé jusqu'à me passer de système d'exploitation Windows, il me semble encore devoir avoir une facilité certaine avec l'informatique de base pour passer en Linux, disons, mais tout le reste est «Sans microsoft», nouveau navigateur Mozilla Firefox, traitement de texte Atlantis Ocean Mind, Yahoo messenger, etc.
Étrangement, ou peut-être justement pas si étrangement, mon ordi se porte beaucoup mieux (ou au moins il plante moins...!) depuis...
Une dernière anecdote tiens... quand Windows plante, au redémarrage, on nous dit évidemment d'arrêter notre système convenablement la prochaine fois (comem si on avait choisi de le faire planter!!!) et parfois, il faut même aller jusqu'à redémarrer en «mode sans échec»... S'ils sont capable de faire un mode sans échec, pourquoi diable en ont-ils créé un avec échec pour en faire le mode régulier????
tk, là, ça va un peu beacoup mieux.

vendredi 17 septembre 2004

Sky Captain et les ordinateurs...
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Hola, je suis en train de remonter mon ordinateur domestique... Hahaha, beaucoup de plaisirs et d'imprévus, évidemment. J'aurai l'air naïf en disant que j'ai appris que mon ordinateur était un vieux débris, après tout, il a déjà presque 4 ans... Je ne parle pas ici de sa configuration d'origine, mais bien du fait que par exemple, si je veux ajouter de la mémoire, le type de carte de mémoire qui s'adapte à mon modèle est discontinué «depuis longtemps». Longtemps?? On me demande alors si j'ai un vieil ordi. Je réponds candidement, pas trop, trois ans... et le gars me dit, Ah, ok, avec les vieilles machines, on peux jamais rien faire :-)
Anyway, je réinstalle donc le système d'exploitation qui peut prendre ne charge mon jeune dinosaure et évidemment, rien ne fonctionne tel que prévu, et je me retrouve soudainement avec un tout petit écran sur mon portable, avec en plus une résolution qui ferait presque pâlir de honte les vrai vieux comodores vic 20 du temps de mon enfance.
Miraculeusement, la très ancienne version de Explorer qui traine avec ce système d'exploitation est fonctionnelle et le driver de ma carte d'accès internet semble aussi fonctionner. Eh ben.

Autre sujet relié à mes frustrations dès que je parle d'informatique, le film Sky Captain and the Wolrd of Tomorrow, que j'ai pu voir mercredi dernier avant sa sortie en salle.
J'ai beaucoup aimé.
Le film mélange plusieurs éléments: science-fiction, fantastique, uchronie, est située dans des années 30 fictives, avec des poussées technologiques plus avancées que ce que nous connaissons des années 30 et rappelle donc un peu sous certaisn aspects, la veine steampunk, dans un autre contexte. Le fait que tout (excepté les acteurs) est numérique dans le film ajoute un élément visuel unique à cette création de monde. L'histoire elle-même mélange aussi quelques éléments du type aventure, romance et intrigue internationale.
Si vous voulez passer un très très bon moment de divertissement dans une salle de cinéma, n'hésitez pas une seconde, le film est vraiment divertissant du début à la fin. Les dialogues sont savoureux, les acteurs sont parfaits dans des rôles qui rappellent avec évidence les Star Wars et Indiana Jones. Les références ne manquent d'ailleurs pas.

Étonnant de savoir que c'est un ordinateur qui a permis au réalisateur de concevoir l'ensemble de ce film (les acteurs ont été filmés avec des écrans bleux, sans décors, pour être ensuite «copiés-collés» dans le film numérique)... j'imagine que le gars a un ordi un peu moins vieux que le mien... ;-)

Je vous reviendrai dès que ma machine sera redevenue complètement opérationnelle.
D'ici là, courrez voir Sky Captain and the World of Tomorrow.

samedi 11 septembre 2004

L'amitié et les voyages...
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En quittant Montréal, j'ai échangé quelques mails avec une copine qui me disait que contrairement à tous mes amis, elle ne me trouvait pas chanceux de faire ce que je faisais, de voyager comme ça, de vivre tout le temps ailleurs... Elle ne partage pas cet avis que j'ai de la chance (ou que je crée ma chance de pouvoir le faire), puisque pour elle, le voyage, ou le déménagement, signifie une séparation, un éloignement, d'avec les amis et les gens que l'on aime.
Elle touchait un point. Et un bon.
Les voyages, j'ai découvert depuis quelques annéee, sont un couteau à deux tranchants. Oui, en quittant Montréal, je l'ai quittée, elle et plusieurs autres amis. Et oui, elle me manque, tout comme mes autres amis du Québec. À Montréal, j'avais aussi quelques amis de la BC qui me manquaient.
Ici et maintenant, j'ai des amis de l'Équateur qui me manquent. Et mes compagnes de voyage aussi, elles me manquent.
Vous me manquez tous.
Mais là où je préfère continuer plutôt que m'arrêter, c'est que la moitié au moins de ces amis, je ne les connaîtrais pas si je ne m'étais jamais déplacé. Sans mes voyages, je n'aurais pas ces amis en BC que j'étais si content de revoir récemment, je n'aurais pas ces amis en Équateur que je vais certainement revoir un jour, je n'aurais pas quelques amis en Europe ou en Abitibi, je n'aurais pas cette amie triste de mon départ et qui craint les départ, je n'aurais pas tout ce monde passionnant et que j'aime beaucoup.
Alors je vais continuer les amis, à agrandir votre petit groupe. Un beau jour, je vous réunirai tous quelque part, belle idéee, hein?
On peut toujours rêver... Tiens, si j'étais millionnaire, j'organiserais un big party quelque part dans le monde où ni vous ni mois n'avons jamais mis les pieds, et je payerais un billet d'avion pour tous mes meilleurs amis. Wow. Ça c'est une idée!
Trois ans plus tard...
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Tout le monde se souvient de cette date, il y a trois ans. Moi, je me souviens aussi d'autre chose à la même période. Une journée précédent cet événement marquant pour l'histoire, ma soeur Sophie quittait Vancouver (j'ai la semaine suivante souvent imaginé comment son retour à Montréal aurait été compliqué le lendemain ou les jours suivants)... et elle emportait avec elle, mon ami Shadow, qui avait partagé ma vie pendant les années précédentes.
Je me souviens avoir écrit un petit texte, publié depuis dans mon petit recueil pré-Équateur, sur le fait que Shadow me manquerait mais que la prochaine fois que l'on se verrait, ça serait tellement plaisant pour lui... et pour moi!
Nous nous sommes revus assez souvent depuis, Shadow et moi, en fin de compte. Une fois en avril 2002, puis on a passé un mois et demi ensemble à l'été 2003, puis occasionnellement, il m'a visité pendant mon séjour à Montréal. Il a eu la chance de revoir Suzie à la fin de cet été, et en a visiblement été très heureux...
Il ne m'a pas déçu ni trahi depuis, et je sais que c'est un ami pour la vie.
Et cet étonnant nombre de rencontres entre nous depuis son départ de Vancouver me laisse aussi croire à d'autres belles rencontres à venir. J'en souris déjà, et je suis sûr qu'il fait de même si cette idée traverse momentanéement ses penséee canines, entre deux os, une marche et un frisbie! ;-)
Waouf.
Comment va la vie?
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C'est le genre de question que l'on ne se pose pas directement, ou pas directement à nous-même en regardant une période donnéee ou fixe...
Ce soir, après être revenu du centre-ville, je suis allé faire un peu de lessive. J'ai choisi par habitude une petite laverie près du coin Fraser et Broadway, où j'avais l'habitude de faire mon lavage avant de quitter Vancouver en mars 2003.
L'homme qui opère la laverie, un gentil monsieur chinois, m'a reconnu. Il m'a demandé ce que je devenais, pourquoi il ne m'avait pas vu depuis très longtemps... Nous avons discuté un brin, je lui ai confié avoir quitté Vancouver et voyagé un peu, etc.
Pendant que mon linge passait au lavage, je suis passé au petit dépanneur du coin, en face, pour m'acheter du jus d'orange. Le gentil monsieur qui opère la place m'a lui aussi reconnu, mentionnant que j'avais maigri de quelques livres peut-être et que mes cheveux n'étaient plus les mêmes (note: je n'ai pas eu de coupe de cheveux depuis plus de 6 mois). Il m'a demandé lui aussi pourquoi il ne m'avait pas vu depuis si longtemps, ajoutant: How is life with you?
Well, La vie, depuis mars 2003 a certainement été mouvementée, elle m'a offert des beaux comme des tristes moments, mais comme ça vu globalement, cette dernière année et demie a ma foi été une assez belle période, non? J'étais plutôt content de faire ce constat comme ça. Malgré les périodes difficiles, donc, je regarde ces 18 mois avec une certaine sérénité.
Juste avant de récupérer mon linge propre, je me suis acheté du celeri à la fruiterie voisine de la laverie et la jeune asiatique qui séoccupe de la caisse m'a elle aussi reconnue comme un ancien client. Pour sa part plus timide, elle ne m'a pas questionnée sur ma disparition.
C'est étrange comment la vie vous interpèle parfois. Ce soir, le petit univers du coin Fraser/Broadway, qui n'a presque pas changé depuis mon départ, a conspiré pour me faire voir comment la vie a été intéressante pour moi ces 18 derniers mois.
Comme les 18 mois qui avaient précédés ces 18 mois de déplacements avaient été praticulièrement heureux, ce genre de pensée m'amène naturellement à croire qu'il n`y a aucune raison que les prochains 18 mois soient différents.
Comment va la vie pour vous, mes amis? J'aimerais savoir, vraiment.

vendredi 10 septembre 2004

Un mensaje publico para mia amiga
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Querida amiga,
Yo estoy en Vancouver, mi ciudad preferida del Canada. Esta bien por que yo trabajo ya, aunque solamente un mes ha pasado desde mi regresso en mi pais.
Esta noche, te extrano. Extrano mucho el Ecuador y los ninos de la escuela.
Pero te extrano. Yo recuerdo nuestro proyecto de subir el Guagua (!despues el Unguy!). Yo necessito de volver en Ecuador por realizar este proyecto contigo.
Mi vida aqui esta interesante por el momento, pero yo todavia tengo un nuevo proyecto de viaje; no te le digo ahora, por que no se si es serio o no, pero yo te le decire temprano si yo creo que este un proyecto posible por el proximo ano. Asi, yo creo que no podre ir en tu pais antes de dos anos. Espero por menos que dos anos, pero no se si estara posible para mi de ir en Ecuador antes.
Ahorita, yo escucho musica en ingles, y la cancion que yo escucho esta Halleluia, es una cancion de la pelicula Shrek, ?recuerde? Entonces, Yo pienso a ti mucho.
Nunca te olvidare, amiga, gracias por todo.
Te quiero,
Hugo
Les Nations Unies.
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De retour sur le web, avec une connexion respectable, ce qui me fait dire que d'ici les prochaines semaines, je mettreai probablement plusieurs de mes sites à jour, et je ferai du ménage...
D'ici là, je m'adapte à ma nouvelle vie disons normale, ici au pays, beaucoup de choses à faire pour reprendre le rythme normal...
Je vais poursuivre ce journal de la BC, en attendant ma prochaine destination.
En ce moment, la vie est intéressante... je vous présente ce soir quelques personnages qui ont quelque chose en commun:
Tamara est dòrigine française, mais sa mère parle français, pas elle, elle n'en comprends que quelques mots; Takashi et Ryoko sont japonnais, Tak est de l'île d'Okinawa. Divya et Ami sont du même village de l'est de l'Inde. Christopher est du nord de l'Angleterre, Clarissa de l'Australie. Aucune idée d'où sont Fa et Raluca, je soupçonne Fa d'être du Vietnam... fadrait que je lui demande, tiens... Moi, eh bien de suis du Québec, comme vous le savez... Il y a aussi Sean qui est mi-canadien di-japonnais, et Dan qui est d'origine Irlandaise... Ah, le point commun: nous travaillons tous ensemble au même Starbucks downtown Vancouver. On nous surnomme le Starbucks des Nations Unies!
Comme le café ouvre ses portes à 5h30 le matin et qu'il faut au moins une demi-heure pour tout préparer, lorsque je suis un des deux partenaire qui ouvre, je dois m'y rendre pour 5h AM. pas de bus à cette heure, alors je prends mon nouveau vélo pour me rendre downtown de nuit, yé. C'est assez original, mais plutôt agréable, finalement, pas si long (20 minutes), et ma foi, c'est bien plaisant de terminer son quart à 11h30 du matin comme ce matin! Ça fait des longues journées libres par la suite!
Plus de détails sur ma vie ici bientôt. Demeurez en ligne.
Hugo

vendredi 3 septembre 2004

telegramme
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hola, probleme d
acces a mes mails...
vientd'emmenager nouvel apprt.
travail beaucoup.
plus de nouvelles apres que j'ai connexion internet.
ciao.
hugo.